Les jeunes camerounais comprennent plus que jamais la nécessité d’entreprendre. Avec l’ouverture sur le monde et le marché de la consommation de plus en plus agressive, avoir les revenues conséquentes pour pouvoir subvenir à ses besoins devienent une nécessité existentielle. Au-delà d’assouvir les besoins primaires voire secondaires, certains jeunes Camerounais aujourd’hui plus que par le passé ont une volonté de démontrer leurs savoir – faire, leurs capacités à créer de la richesse et de contribuer de façon substantielle au développement du pays. On les retrouve dans tous les secteurs, du numérique en passant par l’industrie, le commerce ou encore l’agriculture. Yannick Moto fait partie de cette génération qui veut marquer l’histoire par leurs empreintes sur l’économie camerounaise. Lui, il a choisi le poivre blanc de Penja pour s’exprimer.
Dans tous les grandes enseignes de supermarché de la ville de Douala, sur les rayons réservés à l’épicerie vous retrouvez le poivre blanc de Penja sous la marque Motoche. Yannick Moto est le fondateur et le CEO de cette jeune structure qui s’est engagée à la valorisation du très prisé poivre blanc de Penja. Depuis près de deux ans, le jeune entrepreneur travaille avec passion et abnégation pour imposer sa marque comme une référence. Pour faire la différence, il s’appuie sur les techniques modernes de management pour se démarquer. De la sélection des poivres au packaging, Yannick Moto fait de la traçabilité et la présentation de son poivre des priorités.
Quand on échange avec le jeune entrepreneur sur son entreprise, on est fasciné par sa passion et son optimisme. L’esprit de la gagne il l’a dans la peau, excellent sportif, pendant plusieurs années il a été le capitaine de l’équipe de Volley Ball de l’université de Douala. Diplômé de l’ESSEC de Douala en ressources humaines en 2015, Yannick Moto est un jeune entrepreneur plein de qualités avec une humilité qui impose le respect. Sa discipline et sa soif de réussite ont poussé les plus grands distributeurs à lui faire confiance, mais le fondateur de Motoche ne compte pas s’arrêter là, son désir, c’est de marquer l’histoire et le potentiel pour y arriver, il en a.