Les grands entrepreneurs se démarquent par leur capacité à oser et à saisir les opportunités là où la majorité ne voit que des obstacles, les difficultés voir absolument rien. Dans un paysage numérique qui se cherchait encore, une jeune femme a pris le risque de quitter une belle et prometteuse carrière en Europe pour venir au Cameroun tenté une nouvelle aventure pleine des incertitudes. Céline Victoria Fotso, la fondatrice de Je Wanda Magazine a tenté un pari fou, mais aujourd’hui les résultats font d’elle une visionnaire.
En 2010, alors que le webzine est encore une curiosité pour les internautes camerounais, une jeune dame débarque tout fraîchement et lance Je WandaMagazine. Céline Victoria Fotso, la petite fille de la légende vivante Fotso Victor, diplômée d’école de commerce, styliste de formation, se lance dans cet univers dont la rentabilité à l’époque est fortement problématique. Les années passantes, l’entreprise de Céline grandit et monte en puissance. La vision de la jeune fille du Nkoung-khi est remarquable, son sens des affaires et sa capacité à anticiper sur le futur sont des facultés qu’on ne retrouve pas chez tout le monde. En exemple pour la jeune fille camerounaise et africaine, les efforts de Céline Victoria Fotso ont été reconnu à l’international par les médias d’envergure comme Jeune Afrique ou l’Expansion. Dans un contexte marqué par une jeunesse africaine de plus en plus innovante qui croit au continent et à ses potentialités, Céline Victoria apparaîtcomme une source d’inspiration.
À 37 ans, la wanda woman continue son aventure dans le web média. Bosseuse acharnée, loin des affaires familiales, la belle dame construit sa propre histoire. Son sens de l’innovation et son exigence pour la qualité du travail bien fait sont des éléments qui permettent de dire objectivement que l’histoire de Céline dans l’environnement numérique camerounais nous réservent encore de très belles choses.
Avec camerounceo