Les œuvres des grands humanistes glorifient les pensées positives et perpétuelles à travers l’humanité ; on les cite pour qu’on s’interroge à leur propos afin de connaître l’histoire d’un monde qui recherche la bonté universelle.
Dans un petit bout de village du Cameroun, au versant d’un pan de colline de la région de l’Ouest, plus précisément dans l’arrondissement de Bafoussam 2ème , département de la Mifi, où s’accroche, sans peine, un village appelé Famtchouet, est née, il y a bientôt vingt ans, une fabuleuse aventure. Une belle aventure bercée par la personnalité philanthropique d’une dame aux élans de cœur contagieux : Madame Chantal Biya, première dame de la République du Cameroun. La naissance de l’aventure n’est cependant pas ex-nihilo, oh que non, elle porte un nom ; le nom d’un homme de conviction et de principe : Ebenezer Chizé.
Depuis des années, cet homme bâtit, ici, et à travers la région de l’Ouest Cameroun, un Monument. Ses actes, prémonitoires attestent du devoir et de la volonté d’un Cameroun qui valorise le mérite tous azimuts. Chaque année qui passe, maintenant, Ebenezer Chize, digne sujet de Sa Majesté Roi Baleng, organise un évènement aussi bien encadré par l’amour de la patrie reconnaissante que par celui des populations locales qui trouvent en ses actes une opportunité de développement inclusif du Cameroun.
Il s’agit du Championnat et de la Coupe Chantal Biya. Cela n’est pas une flagornerie envers la première dame du Cameroun, mais un symbole qui voudrait mettre en relief l’œuvre d’une dame qui n’est pas pauvre mais qui se souci des pauvres. Qui ne pense qu’aux pauvres. On en a eu, à travers le monde, des exemples similaires : mère Térésa, Abbé Pierre, sœur Emmanuel, Bernadette, arrêtons-nous là !
Source: Le Soir N ° 7 9 0