Les bonnes étrangères n’ont plus le droit de se marier, ni d’entretenir une relation amoureuse. Les familles qui les emploient sont tenues de surveiller leurs fréquentations. Bonnes à tout faire ou nounous au Liban, elles rêvaient d’émancipation après la création, l’hiver 2014, à Beyrouth, de leur syndicat, le premier du genre dans le monde arabe. […] Read more