Depuis le coup d’État d’avril 2012, le trafic de bois explose. Une hécatombe écologique dont les retombées financières profitent surtout aux opérateurs chinois. Attablée à la terrasse d’un modeste maquis du centre-ville de Bissau, l’oreille vissée à son téléphone portable, elle enchaîne les appels, sans se soucier des rares clients assis alentour. « Un gros coup se […] Read more