Certains salariés se retrouvent parfois mis à l’écart. Il est nécessaire d’en connaître les raisons pour trouver la bonne solution.
Une personne placardisée ou en instance de le devenir vit très souvent un calvaire. Un sentiment exacerbé d’inutilité. Être payé à ne rien faire n’est pas un rêve. Il s’agit d’un cauchemar qui peut même générer une maladie nommée le boreout, qui est l’exact opposé du burnout.
Ceux qui n’ont jamais subi l’expérience du placard en ont peur. Elle reste un souvenir cuisant pour les salariés confrontés à cette douloureuse expérience.
Dans un monde qui bouge rapidement, la réorganisation des tâches au sein des entreprises s’accélère pour s’adapter aux marchés, répondre aux fusions-acquisitions, aux scissions ou encore aux réorientations vers de nouvelles activités. Ce qui provoque souvent, dans le public comme dans le privé, des mises au placard.
Cette antichambre du licenciement ou de la démission est de plus en plus souvent une solution mise en place par les directions des ressources humaines pour tenter de se défaire de salariés dont la présence n’est plus requise.
Potentiellement, chacun peut être touché par ce phénomène. Un professionnalisme éprouvé ne fait pas tout. De fait, la mise au placard concerne aussi les cadres perfectionnistes et impliqués dans leur travail.
Pour ne pas se laisser prendre de vitesse et éviter de se voir relégué aux oubliettes, le JDN aidé de trois spécialistes a répertorié 20 signes qui vous aident à repérer et à combattre la placardisation.
avec JDN