Des représentants du Regroupement étudiant franco-ontarien (RÉFO), de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (l’Assemblée) et de la Fédération de la jeunesse franco-ontarienne (FESFO) rencontreront une vingtaine de députés des trois partis, aujourd’hui et demain.
L’objectif est de les « sensibiliser » au projet et d’obtenir des engagements « concrets ».
La coalition voudrait ouvrir un campus à Toronto d’ici 2018.
« Il nous faut maintenant un appui clair et un engagement soutenu de nos parlementaires pour que l’Ontario français, la plus importante communauté francophone hors Québec en Amérique du Nord, ait accès à son université de langue française indépendante. »— Geneviève Borris, coprésidente du RÉFO
Le gouvernement libéral a donné son appui à l’idée dans le passé, mais sans promettre de financement.
avec radio-canada