Alassane Ouattara, président de la République de Côte d’Ivoire et Uhuru Kenyatta, président de la République du Kenya, prendront part à la quatrième édition du AFRICA CEO FORUM, la plus grande manifestation internationale consacrée aux enjeux de développement du secteur privé africain, les 21 et 22 mars 2016, à Abidjan, en Côte d’Ivoire.
Selon un communiqué des organisateurs de ce Forum, les deux hommes “confronteront leurs vues sur l’économie du continent à l’occasion de cette quatrième édition, qui accueillera plus de 800 personnalités venues de tout le continent et du monde entier”.
Rendez-vous international incontournable des champions de la croissance africaine, AFRICA CEO FORUM réunit chaque année les plus grands chefs d’entreprises, banquiers, financiers et décideurs publics du continent.
À l’occasion de cette nouvelle édition et du premier déplacement officiel d’Uhuru Kenyatta en Côte d’Ivoire, les deux présidents confronteront leurs points de vue et leurs actions sur l’accélération des réformes structurelles et l’amélioration du climat des affaires permettant l’épanouissement d’un secteur privé africain fort, réservoir de croissance et d’emplois.
Les économies les plus dynamiques d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique de l’Est
Ayant accédé l’an passé au rang de pays à revenu intermédiaire, le Kenya consolide sa position de moteur économique de l’Afrique de l’Est avec un PIB de $ 60 milliards et une prévision de croissance de 6,6% pour 2016. La Côte d’Ivoire, avec une croissance économique avoisinant les 10% par an depuis 2012, un taux d’investissement atteignant aujourd’hui plus de 20 % du PIB et des exportations en constante augmentation depuis 2009, est le moteur de l’intégration régionale au sein de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
À l’heure où le continent est confronté à un contexte économique incertain, la participation des plus hauts représentants des économies les plus dynamiques d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique de l’Est confirme la vocation du AFRICA CEO FORUM de promouvoir le développement du secteur privé africain en favorisant le dialogue et l’intégration régionale entre toutes les zones économiques du continent, notamment en renforçant les liens entre les régions francophones et anglophones.
avec fratmat