Pour cette publication, nous allons vous exposer qui sont le Prophète Muhammad (SAWS), l’Imam Ali (AS), leProphète Moussa (AS) (Moïse) et le Héros/Dieu Jamshid/Ahura Mazda, grâce à la “Nouvelle Chronologie” d’Anatoly Fomenko et Gleb Nosovsky.
Cette publication n’a pas pour but de toucher ou de remettre en question les dogmes qui découlent de ces grands personnages historiques, qui sont le Sunnisme, le Chiisme, le Judaïsme et le Zoroastrisme.
Cette publication remettra ces grands personnages historiques dans leur époque et contexte historique commune : c’est à dire le XVe siècle de notre ère.
Bonne lecture.
“L’Histoire a 1.000 ans de Trop“, documentaire d’Anatoly Fomenko et Gleb Nosovsky. Lien vers la vidéo :”https://www.youtube.com/watch?v=SFCFnPNXVnQ&index=5&list=PLbaUqXidaUNWHpW1FZbMPf6ZLqBVOYe7I“
Divers liens sur des articles de la démonstration de la vie de Jésus Christ au XIIe siècle :
- Le Christ est né en Crimée I
- Le Christ est né en Crimée II
- Le Christ est né en Crimée III Le Saint Graal 1
- Le Christ est né en Crimée IV Le Saint Graal 2
- Le Christ est né en Crimée V La Vierge Marie 1
- Le Christ est né en Crimée VI La Vierge Marie 2
“La Jérusalem Oubliée“, documentaire d’Anatoly Fomenko et Gleb Nosovsky. Lien vers la vidéo :”http://rutube.ru/video/a43a92b403c0ffe36bc5eb348e1b
- Le Sultan Khan Mehmet II le Conquérant, Sultan de l’empire Ottoman
Le sultan Mehmet II le Conquérant ou Mehmed II «Fatih» (en turc : Fatih Sultan Mehmet Han) fut le 7e sultan de l’Empire ottoman.
Il était le quatrième fils de Mourad II2. Il serait né le 30 mars 1432 à Edirne de Huma Hatun.
C’est la prise de Constantinople en 1453 qui lui valut son surnom de « Fatih » (Conquérant). Il régna à deux reprises (entre 1444 et 1446 puis entre 1451 et 1481) ; dans l’intervalle, c’est son père Mourad II qui reprit le pouvoir. C’était un homme vigoureux et un chef militaire redoutable.
Il était curieux de littérature et des beaux-arts. Il écrivit des poèmes en turc et en persan, et composa des chansons. Il s’intéressait à la philosophie et aux sciences, à l’astronomie en particulier. Il fit venir à Constantinople des artistes italiens, dont Gentile Bellini, qui ne séjourna dans la capitale que quelques mois, le temps d’exécuter le portrait du Sultan qui lui avait été demandé à l’occasion des accords de paix conclus entre la République de Venise et l’Empire ottoman (25 janvier 1479). Selon certains auteurs dépourvus de crédit et prompts à idéaliser le monarque, Mehmed IIaurait appris l’arabe, le persan, l’hébreu, le latin et le grec, mais sa connaissance de ces deux dernières langues au moins est fortement sujette à caution.
Il mourut le 3 mai 1481 à Gebze. Son fils Bayezid lui succéda.
Il eut sept épouses, une fille et quatre fils : Mustafa, Bayezid, Cem (ou Jem/Djem) et Korkut.
Suite de sa biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Mehmed_II#Biographie
- Le Khan Ulugh Muhammad, du khanat de Kazan et Ataman de la Horde d’Or
- Le Prince Ulugh Beg, Sultan de la Dynastie Timouride
Le vrai nom d’Ulugh Beg est Muhammad Tāraghay. Il est le fils de Châhrokh et le petit-fils de Tamerlan ; Tāraghay (« L’alouette ») était le nom de son arrière-grand-père. Sa mère, Gauhar Schad Agha, d’origine noble, est connue pour son propre rôle politique. Il est le frère de Baysunghur et le demi-frère d’Ibrahim Sultan et de Muhammad Juki. Le nom d’«
La nouvelle de sa naissance, le 22 mars, parvient à Tamerlan, qui vient de soumettre la ville de Mardin, le 16 avril. Le conquérant montre sa joie non seulement en épargnant la population, mais en l’exemptant d’un tribut.
Dans les voyages qu’il fait dans sa jeunesse, Ulugh Beg visite probablement le site, en ruines, de l’observatoire d’Al-Tûsî à Maragha.
Il a dix ans en 1404 quand Tamerlan revient à Samarcande. On tient de grands banquets auxquels assistent l’ambassadeur de Chine et l’ambassadeur d’Espagne, Ruy Gonzáles de Clavijo. Les petits-fils sont chargés de recevoir les lettres de créance des ambassadeurs, de les porter à Tamerlan et de conduire vers lui les ambassadeurs. Tamerlan donne à cette occasion des épouses à cinq d’entre eux, dont Ulugh Beg, qui épouse Öge-Begüm (Öge-Biki). De plus Ulugh Beg est désigné pour gouverner Tachkent, Sayram, Yängi (maintenant Auliya-ata), Ashpara et la totalité du Mogholistan jusqu’à la frontière chinoise.
Suite de sa biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ulugh_Beg#Politique
- Ils ont vécu au XVe siècle
- Ils étaient sultans
- Ils portent tous le nom de “Muhammad” (en arabe “celui digne de louange”)
- Ils ont des surnoms de vainqueurs : le “Grand” et le “Conquérant”
- Ils étaient chef d’une grande armée : la Horde d’Or, la cavalerie turco mongole des steppes d’Asie Centrale
- Ils aimaient les arts et les sciences
- Ils sont représentés avec la célèbre tunique verte, la barbe et le turban
- Ils ont fait de grandes conquêtes
- Ils étaient des bâtisseurs
- Ils avaient les mêmes armoiries : étoile, croissant, épée, hache, hallebarde, arc, carquois, flèche, canon, fusil, le rouge et le vert
Reconstruction de la vie du “Grand Muhammad” :
Territoire de la Horde, on peut constater qu’il ne se trouve pas en Anatolie, ni à Samarcande, mais au niveau de Kazan en Tartarie. Les steppes d’Asie Centrale sont idéales pour former une armée de cavaliers. Vous avez des troupeaux de chevaux à profusion. Le Sultan Khan de Kazan et son armée, la Horde d’Or.
Svyatoy Kluch (la Saint-Clé), lieu de pélerinage se trouvant à côté de Kazan. On peut y voir sa Pierre Noire (pierre noire de la Ka’aba), sa source sortant de la terre de la montagne (la source Zam-Zam) et le reste des fondations du temple en forme de cube de 11 mètres de côté (la Ka’aba). Lien vers un article sur Svyatoy Kluch : La Première Ka’aba était à Kazan en Russie
Les armoiries de l’empire Ottoman : étoile, croissant, épée, hache, hallebarde, arc, carquois, flèche, canon, fusil, le rouge et le vert
Les armoiries d’Ulugh Muhammad Genghisid Khan du Khanat de Kazan : étoile, croissant, épée, hache, hallebarde, arc, carquois, flèche, canon, fusil, le rouge et le vert
Quatre représentations du “Grand Muhammad”. De gauche à droite : le Prophète Muhammad (SAWS), Mehmet II, Ulugh Muhammad et Ulugh Beg. On peut constater qu’ils sont vêtus de la tunique verte, du turban et porte la barbe
- Il a vécu au XVe siècle
- C’était l’empereur de Kazan en Tartarie
- C’était l’Ataman (chef) de la Horde d’Or, la plus grande armée de l’époque médiévale
- Il a pris Constantinople en 1453
- C’était un linguiste
- C’était un poète
- C’était un astronome
- C’était un mathématicien, il créa les premières tables de fonctions trigonométriques
- Il était le gardien de la Saint-Clé de Bilär (Svyata Kluch), le pélerinage sacré des tartares
- Il fit construire la médersa et l’observatoire de Samarcande pour établir la carte des étoiles : les Tables Sultaniennes
- Le Prophète Conquérant – La Biographie de Mahomet
- L’Origine de la Ka’aba en Islam
- La Ka’aba de la Mecque, construite au XVIIIe siècle (avec l’aide des britanniques) I
- La Ka’aba de la Mecque, construite au XVIIIe siècle (avec l’aide des britanniques) II
- Ali, de son surnom, Aladdin
Ali Qushji et Ulugh Beg
- Moussa (Moïse), de son surnom Saladdin
Le mot Roumi vient de l’arabe Rouma (rûm), qui a désigné d’abord Rome, puis Byzance, et enfin l’Anatolie, ancienne possession byzantine conquise par une branche de la dynastie turque des Seldjoukides, appelée précisément Seldjoukides de Roum.
Il fut l’élève du savant al-Fanari de Bassora (Irak) qui lui conseilla de compléter son éducation scientifique auKhorassan (à Hérat) et en Transoxiane (à Samarcande et Boukhara). Il ne fit le voyage qu’en 1407, après la mort deTamerlan.
C’est à Samarcande qu’il rencontra en 1410 le prince Oulough Beg, qui avait alors 16 ans ; il devint son professeur et développa chez lui le goût des sciences.
Après l’ouverture en 1420 de la médersa d’Oulough Beg, Qadi-zadeh Roumi y enseigna avec un autre savant, al-Kachi, et probablement Oulough Beg lui-même.
Les trois hommes se retrouvèrent associés avec 60 ou 70 autres savants à la création et aux travaux de l’observatoire de Samarcande, inauguré vers 1429. Ces travaux aboutirent à la publication des Tables sultaniennes(zij-é solTâni, en persan), parues en 1437 mais améliorées par Oulough Beg jusque peu avant sa mort en 1449.
Qadi-zadeh Roumi a calculé le sinus de 1° avec une précision (exprimée en décimales) de 10-12. Al-Kachi a travaillé sur le même problème mais utilisé une méthode différente.
Moussa (Moïse), de son surnom Saladdin, est le Prophète Moussa (SA) (Moïse)
- Jamshid, de son surnom Ghyath Addin
Al-Kashi ou Al-Kachi (« le natif de Kashan »), de son nom complet Ghiyath ad-Din Jamshid Mas`ud al-Kashi(Ghiyâth ad-dîn : « secours de la religion », mas`ûd : « heureux », ĵamšid : « Yama le brillant » en persan), est unmathématicien et astronome perse (v. 1380, Kashan (Iran) – 1429, Samarcande (Transoxiane)).
Dans les années qui suivirent une éclipse de lune à laquelle il assista en 1406 à Kashan, al-Kashi rédigea plusieurs ouvrages astronomiques. Ses Khaqani zij (Tables du grand khan) furent dédiées à Shah Rukh ou au fils de celui-ci,Ulugh Beg.
Ulugh Beg invita al-Kashi à Samarcande en 1420, année de l’ouverture de la médersa qui porte son nom. Al-Kashi y enseigna avec Qadi-zadeh Roumi, le professeur d’Ulugh Beg, et probablement Ulugh Beg lui-même.
Avant la construction de l’observatoire de Samarcande, les observations étaient réalisées à la médersa. Al-Kashi joua un rôle important dans la conception de l’observatoire, inauguré vers 1429, et de ses instruments d’astronomie.
Les travaux menés par Ulugh Beg, Qadi-zadeh Roumi, al-Kashi et quelque soixante autres savants aboutirent à la publication des Tables sultaniennes (Zij-é solTâni, en persan), parues en 1437 mais améliorées par Ulugh Beg jusque peu avant sa mort en 1449. Les données des Khaqani zij y furent bien sûr utilisées.
Des lettres écrites en persan par al-Kashi à son père décrivent en détail la vie scientifique à Samarcande à cette époque. Seuls Qadi-zadeh Roumi et Ulugh Beg trouvent grâce à ses yeux. Al-Kashi était d’un tempérament peu raffiné, mais Ulugh Beg le traitait avec bienveillance du fait de ses compétences.
En 1424, dans son ouvrage intitulé Risala al-mouhitiyy (« Traité de la circonférence »), à partir de la méthode des polygones d’Archimède, en utilisant exclusivement la base 60 (sexagésimale), al-Kashi calcule 10 chiffres sexagésimaux de π, soit 16 chiffres décimaux exacts. Il publie ainsi le calcul suivant :
2π = 6 * 600 + 16 * 60−1 + 59 * 60−2 + 28 * 60−3 + 1 * 60-4 + 34 * 60-5 + 51 * 60-6 + 46 * 60-7 + 14 * 60-8 + 50 * 60-9,
ce qui donne, en décimal : 3,1415926535897932…
La valeur la plus précise obtenue jusque-là était celle du mathématicien chinois Zu Chongzhi (vers l’an 465) qui, par la méthode des périmètres, avait obtenu l’encadrement : 3,1415926 < π < 3,1415927.
Vers 1410, et de manière indépendante, le mathématicien indien Madhava avait déjà obtenu 11 décimales de π à l’aide d’une variante de la formule de Gregory.
Ce record sera battu 170 ans plus tard, en 1596, par le Hollandais Van Ceulen, avec 20 décimales
Miftah al-hisab (“Clé de l’Arithmétique”) : dans cette œuvre terminée en 1427, Al-Kashi utilise l’arithmétique pour résoudre des problèmes relevant de divers domaines tels que l’astronomie, la finance ou l’architecture.
Al-Kashi est l’inventeur d’une sorte de calculateur analogique permettant de faire des interpolations linéaires, opérations très courantes en astronomie.
Jamshid, de son surnom Ghyath Addin, est le Héros/Dieu Jamshid/Ahura Mazda.
——————
Conclusion
Avec cette démonstration, nous pouvons constater que les “vrais” compagnons du “Grand Muhammad”, sont de grands scientifiques de leur époque, le XVe siècle. Moussa était ami et collègue scientifique de Jamshid, Muhammad était élève de Moussa et Ali était ami et élève de Muhammad.
Si ils se sont unis, c’est pour nous dresser une carte du ciel et faire certaine avancée dans les sciences (mathématique, astronomique, géométrique, géologique, alchimique, minéralogique, architecturale et médicale, etc…).
Rendons à César ce qui est à César : les sciences et les Grands Noms de notre histoire commune ne viennent pas du Moyen-Orient (Palestine, Israël, Syrie, Liban, Jordanie) ou de l’Arabie mais du monde Tartare, dont la capitale économique, politique et religieuse se trouvait à Bilär, la Kazan médiévale jusqu’au XVIe siècle.