En Ouganda, un volume de thé de 60 millions de kilogrammes (kg) est désormais attendu en 2017 soit une progression de 7% par rapport aux prévisions initiales de production similaires à l’année dernière, comprises entre 56 et 57 millions de kg, rapporte Bloomberg.
D’après George William Ssekitoleko, secrétaire exécutif de l’Association ougandaise de thé, cette révision à la hausse tient notamment aux précipitations de mars à mai qui ont favorisé le développement des feuilles, une situation qui tranche avec les rendements réduits enregistrés en 2016 et au début de cette année, en raison de la sécheresse.
Par ailleurs, explique le dirigeant, de nouvelles plantations ont été créées contribuant ainsi à la hausse des superficies cultivées.
« Il est possible qu’avec une superficie emblavée de 40 000 hectares associée à une météorologie propice, le pays surpasse son record de 66 millions de kg atteint en 2014.», estime M. Ssekitoleko.
Troisième producteur africain de thé derrière le Kenya et le Malawi, l’Ouganda vend 95% de sa récolte aux enchères de Mombasa.
Avec agenceecofin