Le ministre de l’Intérieur Hamed Bakayoko a depuis le mois de mars reçu l’alerte d’une éventualité d’attaque terroriste de Boko Haram sur la ville Abidjan.
Depuis plusieurs mois? Abidjan est dans le viseur des groupes terroristes islamistes qui voudraient bruyamment faire parler d’eux sur la côte ouest-Africaine.
Selon des informations de source sécuritaires très introduites, les services Ivoiriens alertés ont pris en filature depuis la fin février des suspects islamistes dans les quartiers d’Abobo-Klotcha, Yopougon-Andokoi et à Koumassi sans-fil. Infiltrés depuis la frontières Burkinabe du nord du pays et certains pars la frontière Ghanéenne, ils sont resté sous surveillance des éléments de la cellule de coordination des renseignements de la présidence, dirigés par le préfet Vassiriki Traoré.
Ses présumés membres de la secte Boko Haram fréquentent plusieurs mosquées de la mouvance wahhabites qui depuis ont été mises sous surveillance. Tous leurs mouvements sont cernés et la filature restée très discrète…
Certainement que la secte voulait encore faire parler d’elle à travers une action spectaculaire qu’elle aurait pu perpétrer sur les bords de la lagune Ebrié vu les nombreux événements d’envergures internationaux qui sont célébrées depuis le début de l’année dans la capitale économique ivoirienne.
Un expert de la mission onusienne à Abidjan dit être convaincu que les récentes assemblées annuelles de la BAD devraient constituer la cible principale des terroristes de la secte Nigériane.
Fulbert Koffi