Être chef d’entreprise est déjà suffisamment stressant sans devoir supporter de plus les compétences comportementales inappropriées de certains salariés. Toute ressemblance de ce top 10 des attitudes énervantes des employés, avec des faits réels et des personnes existantes, n’est hélas pas le fruit du hasard.
Des comportements insupportables à l’extérieur de l’entreprise
1 – Arriver en retard en rendez-vous à l’extérieur n’est pas forcément très grave si cela reste exceptionnel. Mais si c’est récurrent, cela révèle un réel problème d’organisation, et peut renvoyer vers l’extérieur une mauvaise image de la société. Et ainsi ruiner une communication d’entreprise, surtout si elle est basée sur le sérieux et la ponctualité.
2 – Nouer des relations très étroites avec son client, en faire presque un ami, voilà une attitude parfaite pour un commercial. Mais ne rien formaliser ni capitaliser des informations ainsi récoltées, ne rien partager et tout garder dans sa tête est une faute, qui peut devenir grave en cas d’absence. Se rendre incontournable flatte l’égo du salarié autant que cela fait prendre un risque à son entreprise.
3 – Les relations commerciales ne sont pas toujours un long fleuve tranquille. Et un chef d’entreprise doit pouvoir avoir confiance en ses équipes, même lorsque la situation devient un peu tendue. Et comment faire confiance à quelqu’un qui capitule et passe systématiquement les dossiers difficiles aux collègues ?
4 – Voir ses salariés passer à la concurrence, voilà le cauchemar de tout entrepreneur. C’est pourtant relativement fréquent, car tellement tentant de puiser des coordonnées dans la base clients ou fournisseurs pour les inonder de CV. Et rien de pire que de retrouver un ancien salarié, qui connaît toutes les ficelles de son ex-employeur, de l’autre côté.
Des attitudes tout aussi agaçantes en interne.
5 – Si le dirigeant a mis en place un reporting mensuel, c’est qu’il a vraiment besoin de ces informations. Ce n’est pas uniquement pour embêter les salariés, comme le pensent visiblement ceux qui feignent de découvrir avec surprise la fin de chaque mois, et qu’il faut rappeler à l’ordre.
6 – Un chef d’entreprise est un fédérateur dans l’âme, un leader en puissance. Alors un individu qui ne fait aucun effort pour s’intégrer est un grain de sable dans la dynamique bien huilée insufflée par tout responsable à son entreprise.
7 – Quand le management organise soirées et autres réunions festives, il attend la participation de tous. C’est l’occasion d’y entendre des messages importants, de partager des moments forts. Ceux qui négligent ces événements démontrent quelque part leur manque d’engagement et d’attachement à l’entreprise.
8 – Avoir dans ses équipes des experts reconnus dans leurs domaines est un atout pour une entreprise. Mais pas question de tolérer que les hautes exigences de ces personnes tournent au caprice, comme refuser certaines interventions qu’ils jugeraient indignes de leurs prétendues hautes aptitudes.
9 – Voir certains individus multiplier les pauses-café, en quantité ou en durée, est tout simplement horripilant pour un manager qui a en tête des délais de livraison tendus et des commandes à satisfaire.
10 – Terminons cet effrayant tour d’horizon avec le classique, mais insupportable, éternel absent. Maladie, événement familial, congés judicieusement placés… Si seulement il pouvait mettre la même ingéniosité dans son travail que celle qu’il déploie pour optimiser ses absences!