Après les États-Unis, la Nouvelle-Zélande et l’Australie, c’est maintenant au tour de British Telecom de prendre ses distances avec Huawei à cause de potentiels risques pour la sécurité nationale.
Selon Richard Paradis, chargé de cours en politiques de communication à l’Université de Montréal et président du groupe CIC, les infrastructures G5 vendues par la compagnie de télécommunication chinoise pourraient effectivement être utilisées à des fins d’espionnage. Pour l’instant, le Canada n’a pas fermé la porte à cette technologie.