Alucam, Ringo, des start-up et bien d’autres, parmi les entreprises locales qui, ces dernières années, se sont lancées à la quête de nouveaux investisseurs pour développer leurs activités ; un chemin parsemé d’embûches.
La Compagnie camerounaise d’aluminium (Alucam) n’arrive toujours pas à trouver un investisseur prêt à remplacer Rio Tinto Alcan dans le capital qu’il détenait à 46,7% dans l’usine d’aluminium d’Édéa. Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé. Après plusieurs mois de recherche, ce n’est que l’année dernière que les actifs de la société ont été analysés par la banque d’affaires française Lazard et Michèle Lamarche, associée gérante et spécialiste des
dettes souveraines, selon les dernières informations. Un teaser issu de cette étude a été transmis, fin juillet 2016,
à des investisseurs potentiels au Japon et au MoyenOrient. Cliquez ici pour avoir accès à 100% de cet article