Présentez-vous à la population ivoirienne?
Je suis Francis GBANA, Chef de service Marketing, chargé de Communication de la société ADONAI-AGRI-BATIS.
Si l’on vous demandait de présenter ADONAI AGRI-BATIS, que diriez-vous?
Pour contribuer à la réduction de la pauvreté et à la lutte contre l’insécurité alimentaire à travers la création des emplois et des conditions de vie durables, un groupe d’experts dans divers domaines (agronomie, zootechnie, management de projet, irrigation, génie rural, industrie, bâtiment….) a réfléchi et a trouvé comme solution. Celle-ci était de transformer l’agriculture et se hisser au sommet des chaines des valeurs agricoles d’une part, et d’autre part donner l’occasion aux plus démunis d’avoir un habitat décent et à moindre coût par le biais de la construction des villas modernes (basses et duplex, haut standing et économique). Le fruit de cette réflexion est ADONAI-AGRI-BATIS SARL, entreprise de production et de prestation de service dans le domaine du développement rural et de l’immobilier.
Quelles sont les missions d’ADONAI-AGRI-BATIS?
Sachez d’abord que la Société ADONAI-AGRI-BATIS à deux grand domaines d’intervention.
D’abord, en ce qui concerne le pôle Développement rural, les missions d’ADONAI-AGRI-BATIS sont :
- Création des plantations, des fermes d’élevage, des étangs piscicoles
- Etude et montage de projet
- Management de projet
- Etude du sol
- Etude et Installation des systèmes d’irrigation
- Système d’Information Géographique (SIG) et Cartographie
- Conseil et assistance technique
- Formation
Et ensuite pour ce qui est du Pôle Immobilier, il concerne :
- Construction des villas haut-standing et socio-économique
- Construction de duplex haut-standing et socio-économique
- Réhabilitation – Rénovation
- Electricité bâtiment et plomberie
Pouvez-vous nous parler des réalisations d’ADONAI-AGRIS-BATIS et qu’est-ce que vous apportez de nouveau dans le monde agricole ivoirien et de l’Immobilier?
Parler en détails des réalisations d’ADONAI-AGRIS-BATIS, ce serait égrener un long chapelet d’activités déjà réalisées, nous ne citerons que les grandes réalisations.
Le pôle développement rural d’ADONAI-AGRIS-BATIS a monté deux projets de développement agro-pastoraux notamment le projet de développement agro-pastoral de la région du Guemon avec un Coût du projet estimé à 246.737.600 F CFA et le projet de développement agro-pastoral de Toumodi d’un Coût du projet hauteur de 468.136.000 F CFA. Par ailleurs, nous réalisons des visites techniques des sites de production, nous effectuons des analyses de sol et montons plusieurs comptes d’exploitations prévisionnelles des cultures maraîchères.
Actuellement ADONAI-AGRIS-BATIS est en train d’exécuter un projet de 10 hectares de tomate à Assounvoue (Toumodi).
En ce qui concerne le Pôle Immobilier, nous avons construit 4 villas basses, commencé la construction des sept (7) autres villas basses et nous sommes en train d’achever la construction de 7 duplex dans la zone de Bingerville.
Quelles sont vos perspectives pour les temps à venir ?
Pour perspectives à court terme nous prévoyons :
- Emblaver 200 hectares de terre agricole
- Produire 2400 tonnes de tomate, 750 tonnes de poivron, 750 tonnes d’aubergines, 1500 tonnes de piment, 500 tonnes de concombre.
- Construire 100 Villas basses et 50 Villas duplex
- Installer deux unités de transformation de tomate et une unité de transformation de noix de cajou
Notre vision,c’est de devenir un leader régional dans le domaine de :
- La Production (Animale, végétale, piscicole)
- La Transformation des produits agricoles
- L’immobilier
- L’import-export
- Et le commerce
Un message à l’endroit de la population ivoirienne et en particulier du monde agricole?
Nous demandons à tous les ivoiriens de s’investir dans la culture vivrière surtout le maraîcher et l’élevage afin de réduire la dépendance de notre pays vis-à-vis de l’extérieur en ce qui concerne les produits alimentaires. Ceci pour deux raisons :
-La première consiste à assurer l’autosuffisance alimentaire à toute la population ivoirienne gage d’une vraie émergence.
-La deuxième consiste à garantir la santé des consommateurs ivoiriens car on ignore les conditions dans lesquelles ces légumes (Chou, tomate, concombre..) nous viennent des pays voisins sont produits.
En résumé, si la Côte d’Ivoire est le premier pays producteur au monde de cacao, notre pays peut très bien être aussi le premier pays producteur de légumes au monde et ainsi devenir le grenier de l’Afrique.
Pmepmimagazine
Contacter nous au +225 22 00 32 72