La déboutée de l’Union Nationale fait preuve d’une attitude de maniacodépressive de la pire espèce. Sa réaction face à l’opinion donne finalement raison aux responsables de l’UN de l’avoir éjecté hors du cadre de leur formation politique parce que le parti courait déjà un risque de se retrouver dans une confusion évidente,si cela ne se faisait pas dans de brefs délais.
La publication d’un article d’investigation de i24gabon datant du jeudi 10 août 2017, sous le titre : « Estelle ondo : serait – elle destructrice ou simplement débile ? » fait aujourd’hui l’objet de menaces et d’intimidation à l’égard du journaliste auteur de cette parution, et aux personnes ressources qui ont aidé la rédaction de cette presse en ligne dans la collecte des données nécessaires au redécoupage de cette information bien avérée et référentielle sur le comportement inhumain d’Estelle Ondo et de son staff à vouloir marcher sur les libertés individuelles .
Juste après publication de l’article, la rédaction de i24gabon reçoit un coup de fil anonyme, emplit de menaces de mort : « je vous exhorte à retirer cette publication sans délai si non, je vous ferai la peau et je sais où vous trouvez », retentit une vielle voix au bout du fil. (Sic) est-il strictement interdit de prononcer le nom de miss Ondo sur ses actes de frasques, de corruption et de mauvaise conduite face à ses congénères ?
A la réception de ce mesquin coup de fil, nous avons concédé à l’auteur la préservation de son anonymat car, nous avons jugé cela normal d’accorder à la concernée un droit de réponse, si elle arrivait à démentir les faits qui lui ont été reprochés.
Plus grave encore, est de constater que ce 12 août 2017, un jeune homme, comptant parmi les jeunes qui ont été exploité gratuitement par la ministre de l’Économie forestière, de la pêche et de l’Environnement ,et que cette dernière accuse d’avoir donné des informations à la rédaction de i24gabon, reçoit la visite de Désiré Owono, patron de « Ngoua Services », une firme de la localité d’Oyem, dans tous ses états de colère et les menaces les plus épineux s’en suivent : « Comme tu penses que le fait que tu sois étudiant te donne la liberté de jouer au grand, je vais te montrer qui je suis. Tu es allé tout rapporter à un journaliste pour salir ma personnalité mais moi, je vais te pourrir toute une vie. Je suis le neveu d’Estelle Ondo. Je veux que tu me dises le propriétaire de ce journal à lui, je ferai de sa vie une purée à chien parce que j’ai de connaissances auxquelles tu n’a pas idée ».
Tout ce scénario frissonnant se passe en présence de Bibang, chef de quartier Mekaga à Oyem.
Sieur Désiré, atteint certainement d’un déséquilibre mental, a violé par la suite le domicile du frère aîné du jeune étudiant accompagné d’un policier, lui aussi menacé au même degré que son cadet étudiant.
Ces bourreaux hostiles à l’évolution de la société gabonaise clament haut et fort qu’ils ont été mandatés par Mme Estelle Ondo.
Nous publions ici l’intégralité de l’article qui a suscité d’Estelle et de ses laquais, une réaction cruelle.
Comment pouvons – nous continuer à vivre dans un pays où ceux qui sont sensés diriger marchent sur les libertés individuelles et foulent aux pieds les textes de loi qu’ils ont adapté en assemblée ?
Lorsque d’aucuns ont affirmé qu’Estelle Ondo était une femme au destin hors norme, avec la polémique de son éviction de l’Union Nationale parce que absolument dissipée, les fanatiques de cette dernière ce sont enflammés sur la toile s’affichant en avocats défenseurs. Aujourd’hui, la population d’Oyem se plaint du comportement nuisible de la rescapée tragique de l’UN.
La vedette émergente, au portrait envoûtant aurait impunément un manque de respect caractérisé par une malhonnêteté notoire à l’égard de celui qui l’a mandaté au poste de responsabilité dont elle a la charge. Si non comment concevoir qu’au terme d’un projet qu’elle-même s’est affublée, le résultat observé demeure le mépris et le dédain des travailleurs qu’Estelle Ondo a recruté pour l’accompagner dans le rétablissement des écoles d’Oyem.
Il y a environ un mois que la racaille nationale aurait décidé d’elle – même, de rénover les écoles d’Oyem après avoir certainement bénéficié d’une subvention en la circonstance.
A l’école publique de Makaga, elle a décidé de gratifier cet établissement d’une barrière, un terrain de basket, des toilettes, de salle de classe et procéder évidemment à l’hygiène de l’environnement de cet espace éducatif.
A ce jour, ce projet n’est resté que l’ombre d’une abomination. L’entrepreneur qui avait la charge des travaux a rebroussé chemin en regagnant son domicile de Libreville faute de n’avoir été soldé. Ce dernier a d’ailleurs laissé une accablante facture impayée au motel Fitoria de la capitale provinciale du Woleu – Ntem où il séjournait.
La mission de nettoyage et entretien confiée aux jeunes de Makaga par Estelle Ondo à hauteur de 160 000 FCFA, a été minutieusement exécutée dans les brefs délais. Malheureusement que ces jeunes travailleurs soucieux de l’avenir de leur patrie, ne reçoivent après cette difficile tâche, qu’un pécule de 100 000CFA des mains de Yannick Ondo, neveu d’Estelle Ondo.
Bien avant de remettre ce dû à qui de droit, un certain Désiré s’affirmant comme parent de Mme Ondo déverse dans la menace publique : « si vous continuez de réclamer votre argent, la ministre donnera un ordre au gouverneur de la province du Woleu – Ntem d’envoyer la police vous foutre au gnouf», s’innerve – il. Ces même propos ont été répétés de vive voix par Estelle Ondo.
Tenter de joindre cette acariâtre via son staff, pour obtenir leur dû, tous les contacts de ces jeunes sont mis sur liste de rejet d’appels.
La rédaction de i24gabon s’attendait à une réaction certes, mais pas à des menaces aussi tangibles.
Avec i24gabon