L’occasion de la campagne électorale était-il le moment indiqué ? Le constat est fait par wva « Le corps électoral a été convoqué, les candidats sont connus ainsi que leur programme. Or à la lecture manieuse de leur programmes, il nous semble que les droits des minorités sexuelles qui représentent entre 10 et 12 % de la population selon le sociologue écrivain Gueboguo, ne sont pas pris en compte » Et le plaidoyer sera un thème for évocateur « l’implication des minorités sexuelles et leurs défenseurs dans l’élection présidentielle du 7 octobre : enjeux et impact »
Le débat va commencer, sous forme d’accusation. Les principaux mis en cause, les candidats à l’élection présidentielle « Comment comprendre le silence des candidats concernant les droits des minorités à l’élection présidentielle de 2018 » ? Etait la question centrale de Elie Smith. Au cours de son intervention, le journaliste /activiste va étudier les enjeux de la communauté homosexuelle lors de l’élection présidentielle ainsi que son impact dans le résultat le cas échéant. Non sans subrepticement mettre sur la table la question de la décriminalisation des rapports sexuels librement consentis par des personnes de même sexe. Dans un pays ou la « civilisation passe par l’acceptation de minorités ».
Et puis dans la salle, ils étaient là, les homosexuels, se revendiquant de « la communauté de minorités sexuelles » disséminés parmi les participants, le regard fuyant et assumant mal leur homosexualité. Leurs yeux tournés vers Me Alice Nkom leur défenseur de toujours et souffre douleur qui le leur à bien rendu « Le débat avait pour but de permettre aux minorités sexuelles et leurs défenseurs de s’impliquer davantage dans le processus électoral pas comme des acteurs passifs comme on l’a souvent constaté car étant confronté aux lois discriminatoires et aux stigmatisations, mais comme des acteurs actifs capables de démontrer que les êtres humains ont les mêmes droits »
Source: camer.be