“Ne pas avoir peur de l’échec”, recommande Olivier Demaegdt, fondateur du site web Un bureau sur la terre
1. Bien mesurer son ambition et s’employer à atteindre les objectifs stratégiques, sans se laisser enfermer dans des problèmes quotidiens, même s’il est normal de mettre la main à la pâte.
2. Être clair vis-à-vis de soi-même sur ce qu’on est prêt à perdre (en termes financiers, mais aussi de statut social) et ne pas avoir peur de l’échec
3. Prendre conscience de l’opportunité que représente la création d’entreprise, de prendre en main sa vie professionnelle. Ce qui signifie savoir quelle vie on a envie de vivre et, notamment, choisir où s’installer. Si l’entreprise échoue, on a au moins gagné de vivre dans un environnement plaisant.
4. Dans le cadre d’une association, bien mesurer ce qu’on y gagne, et s’en souvenir dans les éventuels moments de tension entre associés.
5. Définir clairement les missions de chacun pour ne pas se marcher sur les pieds, et être clair sur ce sujet vis-à-vis du personnel.
6. Mettre assez d’argent au départ pour faire face aux inévitables aléas de la première année, donc, ne pas hésiter à emprunter plus que ce qui semble nécessaire en première analyse.
7. Se rapprocher de réseaux de créateurs afin de pouvoir échanger .
8. Avec le banquier, fonctionner dans la plus totale transparence.
9. Si on arrive sur un marché où opèrent déjà de gros concurrents, se démarquer par le nom, le logo, le positionnement prix.
10. Trouver des solutions aux problèmes de gestion quotidiens pour pouvoir se consacrer au travail qui repose d’abord sur les créateurs : la prospection commerciale et la signature de grands comptes.
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