“Nous avons eu cette autorisation pour pouvoir lâcher au plus 10 000 moustiques mâles stériles”, explique Abdoulaye Diabaté, principal investigateur du projet Target Malaria.
“Quand-est-ce que nous allons les lâchés? Cela dépend de plusieurs facteurs. Il faut que les conditions météorologiques soient extrêmement bonnes. Ça va aussi dépendre du niveau de production de ces moustiques que nous avons à l’insectarium”.
Target Malaria a donc pour objectif ultime de pouvoir développer un outil génétique innovant de lutte anti vectorielle : mettre un terme au paludisme.
Déjà des inquiétudes et des avis divergents des populations de Bobo-Dioulasso, la région concernée.
“Si on corrige les risques de sorte à ce que nous n’ayons pas d’effets indésirables non maîtrisables, c’est une bonne chose”, confie un Burkinabè à VOA Afrique.
A Target Malaria on rassure. Il n’y a aucun risque selon Dr Abdoulaye Diabaté, qui explique que “ce sont les mâles que nous lâchons. Et les mâles de moustiques ne piquent pas. Ça veut dire qu’ils ne peuvent transmettre aucune maladie. Nous avons les garanties nécessaires. Je veux rassurer tout le monde que les questions de sécurité sont au cœur du développement de cette technologie au sein de Target Malaria et on ne s’amuse pas avec cela”.
Les communautés locales ont été impliquées dans le projet Target Malaria et elles acceptent ces lâchés de moustiques. Le docteur Léa Paré, responsable de l’engagement avec les parties prenantes pour Target Malaria, souligne que “nous avons obtenu l’acceptation de ces communautés pour notre travail sur les lâchés de moustiques stériles mâles génétiquement modifiés”.
“Nous avons eu cette autorisation pour pouvoir lâcher au plus 10 000 moustiques mâles stériles”, explique Abdoulaye Diabaté, principal investigateur du projet Target Malaria.
“Quand-est-ce que nous allons les lâchés? Cela dépend de plusieurs facteurs. Il faut que les conditions météorologiques soient extrêmement bonnes. Ça va aussi dépendre du niveau de production de ces moustiques que nous avons à l’insectarium”.
Target Malaria a donc pour objectif ultime de pouvoir développer un outil génétique innovant de lutte anti vectorielle : mettre un terme au paludisme.
Déjà des inquiétudes et des avis divergents des populations de Bobo-Dioulasso, la région concernée.
“Si on corrige les risques de sorte à ce que nous n’ayons pas d’effets indésirables non maîtrisables, c’est une bonne chose”, confie un Burkinabè à VOA Afrique.
A Target Malaria on rassure. Il n’y a aucun risque selon Dr Abdoulaye Diabaté, qui explique que “ce sont les mâles que nous lâchons. Et les mâles de moustiques ne piquent pas. Ça veut dire qu’ils ne peuvent transmettre aucune maladie. Nous avons les garanties nécessaires. Je veux rassurer tout le monde que les questions de sécurité sont au cœur du développement de cette technologie au sein de Target Malaria et on ne s’amuse pas avec cela”.
Les communautés locales ont été impliquées dans le projet Target Malaria et elles acceptent ces lâchés de moustiques. Le docteur Léa Paré, responsable de l’engagement avec les parties prenantes pour Target Malaria, souligne que “nous avons obtenu l’acceptation de ces communautés pour notre travail sur les lâchés de moustiques stériles mâles génétiquement modifiés”.
Avec voa