Un atelier conjoint CITES-Douanes, auquel participe une forte délégation chinoise, planche depuis hier à Douala sur la problématique du commerce illicite du bois au Cameroun, avec l’appui des partenaires tels que le DFID, la GIZ et la Chine.
I l était jusqu’ici difficile d’avoir des données relatives aux pertes enregistrées chaque année par l’État, à cause du commerce illicite du bois au Cameroun. Mais l’ONG TRAFFIC, qui est le réseau de surveillance du commerce de la faune et de flore sauvages dont la mission est de s’assurer que ces échanges ne sont pas une menace à la conservation de la nature, s’est chargée de faire ce travail ; en menant une enquête sérieuse et minutieuse dans les différentes zones d’exploitation du bois à travers le pays.
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