La menace est crédible et semble tout à fait réelle. Et le concerné lui-même a pris toute la mesure du danger.
Selon des informations exclusives de KOACI, un jeune soldat dont nous tairons le nom, membre de la garde rapprochée de Guillaume Soro, a eu le choc de sa vie en entendant l’un de ses frères d’armes lui chuchoter à l’oreille que les jours du Président de l’Assemblée nationale sont désormais comptés.
A son interlocuteur ébahi, le soldat affranchi raconte qu’un processus a été mis en place pour introduire subrepticement dans la garde de l’ancien premier ministre, plusieurs soldats triés sur le volet, munis d’un ordre d’opération clair : ouvrir le feu sur le Président de l’Assemblée nationale en cas de nouvelle mutinerie dans n’importe quelle caserne du pays. On aurait prestement mis cet assassinat Rechercher assassinat sur le compte d’une bavure intervenue suite à l’extension de la mutinerie dans sa propre garde.
Il raconte que lui-même ainsi que d’autres soldats ont été contactés pour faire partie de cette mission mais, effrayé par les conséquences d’un tel acte, il aurait décliné l’offre.
Il a cependant pris la précaution d’enregistrer clandestinement son interlocuteur lorsque ce dernier lui déclinait la chronologie tactique de l’opération. Des noms d’officiers supérieurs ont été cités ainsi que celui de certains sous-officiers et soldats du rang.
Cet enregistrement récupéré a permis à la garde rapprochée de Guillaume Soro, d’identifier par recoupements, tous les éléments impliqués dans cette vaste conspiration pour assassiner un homme politique de premier plan.
Le schéma du décès par tir accidentel n’est pas la seule option sur la table. Selon les confidences enregistrées du jeune soldat, un stratagème d’assassinat par empoisonnement a également été planifié contre l’ancien premier ministre.
Le mode opératoire, assez peu élaboré, reste néanmoins efficace.
Selon toute vraisemblance la ligne stratégique adoptée par les comploteurs est de faire en sorte que Guillaume Soro Rechercher Guillaume Soro disparaisse de l’échiquier politique national au moins 18 mois avant le premier tour de la présidentielle de 2020.
Avec KOACI