Revenant sur les motivations de sa candidature, Kkb a indiqué : « Je suis candidat pour défendre Henri Konan Bédié, le Pdci et Félix Houphouët-Boigny ». Puis d’ajouter : « Dans ce combat, je n’ai jamais insulté Bédié ». Il a aussi dit aux populations de Dimbokro qu’il entend réduire le chômage des jeunes dans le pays.
Le candidat indépendant, Kouadio Konan Bertin dit Kkb, a animé deux meetings, à Dimbokro et Bocanda, le 21 octobre, en fin d’après-midi. Face aux populations de Dimbokro à qui il a donné rendez-vous au terrain du quartier Belleville, il a saisi l’occasion pour justifier sa volonté de réconcilier les Ivoiriens s’il est élu au soir du 25 octobre.
KKB a expliqué le sens de sa visite à l’ex Chef de l’Etat, Laurent Gbagbo, à La Haye. « Je suis allé à la Haye pour présenter mes condoléances à Laurent Gbagbo qui y est détenu et qui a perdu sa mère. Même quand on est en palabre avec quelqu’un et qu’il vient à perdre un parent, la tradition africaine recommande qu’on laisse de côté notre querelle pour lui exprimer notre compassion, nos condoléances. C’est ce que j’ai fait en me rendant à La Haye », a-t-il expliqué.
Revenant sur les motivations de sa candidature, Kkb a indiqué : « Je suis candidat pour défendre Henri Konan Bédié, le Pdci et Félix Houphouët-Boigny ». Puis d’ajouter : « Dans ce combat, je n’ai jamais insulté Bédié ». Il a aussi dit aux populations de Dimbokro qu’il entend réduire le chômage des jeunes dans le pays. Car, a-t-il expliqué, « il n’est pas normal que des diplômés soient sans emploi jusqu’à l’âge de 40 ans ».
A Dimbokro comme à Bocanda, il a réaffirmé sa volonté de diriger la Côte d’Ivoire. « Croyez moi, je m’engage à réconcilier les Ivoiriens et à changer tout ce qui est anormal dans ce pays», a-t-il déclaré. Avant Dimbokro et Toumodi, le candidat indépendant a marqué un arrêt à la gare de Toumodi où il a communiqué sa vision de la Côte d’Ivoire aux restauratrices.
Kouadio Konan a invité la jeunesse ivoirienne à tourner le dos à la violence et à cultiver les valeurs de paix et de tolérance chères à Félix Houphouët-Boigny, père de la Côte d’Ivoire moderne.
avec fratmat