En Côte d’Ivoire, le prix de l’oignon violet de Galmi a enregistré une forte progression. Selon nos informations, le coût de cette épice est passé de 200 francs Cfa à un montant variant entre 675 francs Cfa 800 francs Cfa.
Si les revendeurs d’«oignon de Niamey» à Bouaké constatent la pénurie, il leur est bien difficile d’en expliquer l’origine. C’est Constance Konan analyste de marchés agricoles du projet NPAgri qui apporte un début de réponse à cette question. Contactée par l’Agence Ecofin, elle a déclaré: «De fortes pluies mettant à mal la récolte dans une zone de Forte production au Niger serait á l’origine de cette situation». Et de souligner que cette piste était à creuser.
Du côté des afficionadas du bulbe, cette situation rebute ainsi que l’explique à l’APA Barakissa Sylla, une ménagère de Bouaké: «L’oignon est devenu trop cher sur le marché. Moi je préfère particulièrement l’oignon Niamey à cause de son goût très relevé mais aussi à cause de son prix très abordable mais en ce moment, nous qui avons des maris qui ‘se débrouillent’ on ne peut pas acheter ça»
avec agenceecofin