Décidemment, pour les ennemis de la RCA, le Président Faustin Archange Touadera est l’homme à abattre pour que vive la République centrafricaine. Cet homme politique qui occupe la magistrature suprême de l’Etat est un cadavre encombrant de la France affirment certains observateurs de la scène politique. Un cauchemar sans cesse permanent dans l’esprit de la grande vallée des avatars, de mange-mils et des mangeurs de poulets crevés qui jurent sur le crâne de Lucifer qu’ils veulent finir avec cette personnalité. Mais pourquoi alors ?
La damnée de politique à l’heure de la sentence ? Alors, Touadera sera offert comme une victime expiatoire sur l’autel de « l’hyper néocolonialisme », pour le salut de la France? Ah politique, jusqu’à quand abuseras-tu de la patience des centrafricains? Puisque tu les tiens encore à la gorge.
Mais, il faut dire aux centrafricains ce qui se passe réellement en ce temps-post crise ? La RCA est-elle un fleuve où coule de l’argent à flots, des richesses et des ressources au bénéfice de son seul et unique puissance colonisatrice ? Le commun de mortel veut vraiment comprendre et savoir.
Les vrais problèmes de la Centrafrique sont actuellement de deux ordres à savoir les groupes armés et le néocolonialisme volontaire ou involontaire, entretenu ou provoqué.
Le projet de l’assassinat du Président Touadera n’est pas une nouveauté. C’est depuis le premier jour qu’il était porté à la tête de cette nation que les velléités et appétences pour son exécution sont nées chez certains caciques du régime.
A fortiori, un observateur aguerri de la politique centrafricaine l’a si bien martelé. Une démonstration confirmée par un leader des groupes armés reconvertit en partisan de la paix ici à Bangui. Ceux-ci auraient intensifié que : « La mission confiée au groupes armés était qu’ils rendent ingouvernable le pays. Ils doivent par la suite, tout faire pour faire sauter Touadera, d’abord pendant la fête du premier décembre qui a été échoué. Ensuite un plan a été minutieusement préparé pour son assassinat, la veille du nouvel an (Saint sylvestre), qui heureusement les dieux centrafricains l’on fait loupé. Mais aussi et cela récemment, lors de la célébration en différée de la Journée Mondiale de l’Alimentation (JMA) et de la femme rurale à Bambari. Tous ceci sont dans l’objectif de faire opposer Touadera, seul contre tout le peuple ».
Avec abangui