Ça chauffe de plus en plus entre le PDG NYASSA SOLEIL et Samuel Eto’o fils dans l’affaire qui les oppose, liée à l’incarcération du journaliste de soleil FM Michael Doppas.
Lors d’une conférence de presse tenue au siège de la radio ce 03 Décembre 2019, le Président Directeur Général de ladite chaine a tenu à éclairer l’opinion sur les véritables faits de procédure non conforme et surtout à Ernest Obama qu’il qualifie de faiseurs de troubles.
En effet, c’est au cours d’une émission sportive dénommé sport et investigation diffusé le 17 septembre dernier que le journaliste a diffusé une interview de sébastien Ebala dans laquelle il dénonce avec vigueur des pratiques d’homosexualité au sein des lions indomptables.
C’est au conseil national de la communication ou l’affaire a été porté que les responsables à savoir le promoteur de la radio ainsi que ses collaborateurs seront entendus par lettre datée du 25 septembre 2018, Me Elame Bonny Privat, avocat au barreau du Cameroun.
Selon l’accusation, Michael Doppas présentateur de ladite émission et un invité ont proféré à l’encontre de son client des propos portant atteinte à son image et à sa notoriété. C’est ainsi que le mercredi 28 novembre, le juge a décidé de signer un mandat d’arrêt contre le concerné et a été transféré à la prison centrale de Yaoundé.
Pour le promoteur de cette radio, cette version de la partie plaignante est infondée en ce sens que sur les faits de son incarcération, la procédure n’a pas été respectée en ce sens que le journaliste Michael Doppas aurait comparu libre du fait qu’il a un domicile et un lieu de service ou son patron pouvait se porter garant sur le respect de sa comparution.
Pour ce qui concerne les chefs d’accusations, Soleil Nyassa estime et bien sur avec les enregistrements audio que le journaliste n’a d’aucune façon claire dit que Samuel Eto’o est un homosexuel et que cela relavait de son invité qui devrait être poursuivi.
Le patron reconnait néanmoins que le journaliste a utilisé le terme « ETO’O peut », phrase qui n’explicite rien du tout, martelant qu’il est du devoir du journaliste des dénoncer certains faits troublants, citant un Samuel Eto’o qui descend d’un avion et ne salut aucun officiel.
Avec cameroonmagazine