Pour la sixième fois d’affilée, Forbes place la chancelière allemande Angela Merkel en tête de son classement des femmes les plus influentes au monde. La directrice de la Banque centrale de Russie Elvira Nabioullina reste, comme il y a un an, la seule Russe dans le top 100.
La deuxième position de ce classement est occupée par Hillary Clinton, ex-première dame et ex-secrétaire d’Etat américaine, qui brigue actuellement l’investiture du Parti démocrate pour la présidentielle. Elle n’a pas quitté le top 100 des femmes les plus puissantes du monde depuis 2004.
Hillary Clinton est suivie dans le top 10 par la présidente de la Réserve fédérale des Etats-Unis Janet Yellen, la coprésidente de la Fondation Bill-et-Melinda-Gates Melinda Gates, la directrice générale de General Motors Mary Barra, la directrice générale du Fonds monétaire international Christine Lagarde, la directrice générale de Facebook Sheryl Sandberg, la directrice générale de YouTube Susan Wojcicki, la directrice générale de Hewlett-Packard Meg Whitman et la présidente du conseil de Santander Group Ana Patricia Botin.
La directrice de la Banque centrale de Russie Elvira Nabioullina est l’unique Russe à figurer dans le classement Forbes. Son apparition sur la liste des 100 femmes les plus influentes au monde date de 2014 (72e). 71e en 2015, elle est maintenant au 56e rang. Forbes signale qu’en 2013 Elvira Nabioullina est devenue la première femme à la tête d’une banque centrale du G8 et qu’elle prend depuis des décisions importantes visant à stabiliser l’économie russe confrontée aux sanctions et à la crise.
Plusieurs célébrités, telles qu’Angelina Jolie ou Taylor Swift, ont quitté le classement de Forbes qui opte désormais pour des femmes qui souhaitent jouer un rôle dans la politique et étendre leur influence au niveau national et mondial.
Les Américaines, avec 51 représentantes, restent dominantes dans le top 100. Elles devancent largement les neuf Chinoises qui arrivent en deuxième position.
avec sputniknew