C’est une dépêche de Reuters revenant sur le “miracle” anglais qui, loin d’être aussi miraculeux que cela, montre bien à quel point la pauvreté et la précarité partout dans le monde progressent inexorablement.
“Plus de quatre millions de personnes en Grande-Bretagne ont du mal à faire face à leurs échéances mensuelles, selon un rapport publié mercredi par la Financial Conduct Authority (FCA), l’autorité de tutelle du secteur financier britannique.
Les jeunes consommateurs et les locataires sont les plus exposés à ces difficultés financières, précise la FCA. L’étude souligne une situation particulièrement sensible alors que l’inflation est supérieure à la progression des salaires.
D’après ses conclusions, près de la moitié des locataires rencontreraient par ailleurs des difficultés si leur loyer mensuel devait augmenter de moins de 100 livres (environ 110 euros).
L’étude doit permettre à la FCA de moduler les règles encadrant les crédits à la consommation et les prêts hypothécaires.”
Ce que vous voyez encore là c’est que la précarisation se fait terriblement à partir du prix du logement qui, partout, devient de plus en plus cher.
C’est là qu’il faut savoir exercer son libre arbitre et devenir capable de raisonner différemment. Souvent mieux vaut habiter dans une région nettement moins chère avec un “boulot” alimentaire que de courir après des chimères dans certaines capitales par exemple.
Si cette tendance concerne par exemple en France les gens au smic qui habitent l’Île-de-France, cela va s’aggraver dans les années qui viennent et toucher vraisemblablement les “petits cadres”.
Avec businessbourse