Pour mettre fin à cette saignée, L’ONG Traffic sensibilise une quarantaine d’acteurs de la chaîne d’approvisionnement, depuis ce mardi 08 août 2017 à Douala sur la légalité du commerce de bois du Cameroun.
Armand N est douanier. Tous les jours, il voit défiler sur l’axe lourd Douala-Yaoundé, des dizaines de camions chargés de bois issus des forêts camerounaises. « Cependant, je n’ai aucun élément qui me permet de savoir si ces essences sont produites légalement ou pas. Encore moins, si elles sont destinées au marché chinois, désormais première destination du bois exploité au Cameroun »,reconnaît-il. Un déficit d’informations qui rend difficile le travail de contrôle et de surveillance qui incombent aux acteurs de la chaîne d’approvisionnement, que sont les agents du ministère des Forêts et de la faune (Minfof), ainsi que toutes les agences gouvernementales… Cliquer ici pour télécharger la version complète de cet article