Au Kenya, les dernières prévisions concernant la production de thé de 2017 s’établissent désormais à 420-450 millions de kilogrammes (kg), soit une hausse de 4-34 millions de kg par rapport aux estimations de janvier (416 millions de kg).
C’est ce qu’a indiqué, à Reuters, Alfred Busolo, directeur général de l’Autorité kényane de l’agriculture, de la pêche et de l’alimentation (Affa). Selon le dirigeant, cette révision à la hausse s’explique par l’amélioration des perspectives pour la pluviométrie.
En parallèle à l’embellie attendue dans la production, le dirigeant dit s’attendre à de «bons prix » pour la denrée, cette saison. Le kilogramme de thé a déjà atteint, cette saison, 3$ contre 2,5$ un an plus tôt, d’après le Conseil kényan du thé.
Pour rappel, le Kenya a produit en 2016, 473 millions de kg de thé, un chiffre en dessous de l’objectif fixé (500 millions de kg).
La première économie d’Afrique de l’Est est le plus gros exportateur mondial de thé noir mais arrive au troisième rang en matière de production.
Avec agenceecofin