Pour contourner les taux d’intérêt élevés proposés par les banques, les entrepreneurs du continent disposent de leviers alternatifs.
Étape clé du développement des entreprises, la recherche de financements relève souvent du parcours du combattant pour les start-up africaines. En cause notamment, un secteur bancaire inadapté et un système d’aide à l’innovation à l’état de chantier. Sur la zone francophone, les taux d’intérêt des prêts consentis par les banques commerciales oscillent entre 10 % et 17 %. Un tarif prohibitif pour les entrepreneurs qui souhaitent passer d’une idée à un produit sans risquer le surendettement. En Afrique, les subventions nationales à l’innovation restent quant à elles très rares et passent, le plus souvent, par des bailleurs extérieurs. A l’occasion des Journées nationales des diasporas africaines (JNDA), les 31 mars et 1er avril à Bordeaux, en France, un panel d’experts a examiné quelques solutions de financement. Tour d’horizon en cinq solutions…
Cliquez ici pour télécharger la version complète de cet article