La Présidente en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO), Mme Ellen Johnson Sirleaf, privilégie les négociations en Gambie Rechercher Gambie en lieu et place de l’option militaire que l’organisation sous régionale envisage pour déloger le Président Yahya Jammeh Rechercher Yahya Jammeh du pouvoir après l’expiration de son mandat.
Ellen Johnson, qui est par ailleurs la Présidente du Liberia, a fait cette déclaration hier samedi à Accra au Ghana en marge de l’investiture du Président Nana Akufo Addo. Précisons qu’un mini-sommet sur la situation en Gambie RechercherGambie s’est tenu entre les Présidents qui ont fait le déplacement sur Accra mais aucune «décision majeure» n’a été prise.
En invitant les gambiens à suivre les pas des ghanéens, la présidente en exercice de la CEDEAO Rechercher CEDEAO a déclaré en référence à la prestation de serment d’Akufo-Addo que « Aujourd’hui marque une journée historique pour la CEDEAO RechercherCEDEAO et dans toute l’Afrique au moment où nous assistons à une autre transition démocratique au Ghana. Aujourd’hui, nous assistons à l’achèvement d’un processus démocratique de transfert pacifique du pouvoir d’une administration à une autre ».
En rapport avec cette exhortation, il est à préciser que les élections au Ghana se sont bien déroulées de même que la transition qui a abouti à l’investiture du Président élu, Akufo Addo.
Pour ce qui de la recherche des voies et moyens pour résoudre la crise post-électorale en Gambie, Ellen Johnson a d’après la BBC déclaré que « LA CEDEAO Rechercher CEDEAO est très attentive à toutes les procédures engagées en Gambie RechercherGambie et le Président nigérian, Muhammadu Buhari, mène toujours les efforts de médiation des pays africains ».
Au regard de cette exhortation, l’on peut déduire que l’organisation sous régionale veut privilégier la voie du dialogue entre les gambiens et non continuer par parler de la force militaire qui risque de durcir Jammeh dans sa position.
Les choses pourraient bouger en Gambie Rechercher Gambie cette semaine avec la Cour Suprême qui va se prononcer sur le recours en annulation du vote déposé par le parti au pouvoir en raison des irrégularités et intimidations alléguées sur ses membres.