Pour la deuxième année du mandat de son mari, Melania Trump a pris ses marques en tant que First Lady.
2018, l’année de révélation pour Melania Trump ? Pour la deuxième année du mandat de Donald Trump, Melania Trump s’est montrée plus présente. La First Lady semble avoir trouvé ses marques à la Maison-Blanche, où elle n’avait emménagé que six mois après son mari, voulant rester à New York pour permettre à leur fils de 12 ans Barron de finir l’année scolaire en toute tranquillité. Mais avant de conclure l’année en Irak, lors d’un déplacement surprise avec son mari, Melania Trump avait démarré 2018 dans la discrétion. En janvier, le «Wall Street Journal» a révélé l’existence d’un accord signé avec l’actrice X Stormy Daniels, payée 130 000 dollars pour taire la liaison qu’elle a eue avec Donald Trump en 2006, quelques mois après la naissance de Barron. Une révélation qui a été suivie par d’autres «indélicatesses», comme le témoignage de l’ex-Playmate Karen McDougal, dont le silence a lui aussi été acheté via un montage qui vaut désormais bien des soucis au président américain et son entourage, accusé d’avoir ainsi manipulé l’élection.
Après une escapade à Mar-a-Lago et un déplacement à Davos annulé, Melania Trump est revenue sur le devant de la scène et a assumé certaines divergences, qu’elles soient avec Rudy Giuliani, l’avocat de Donald Trump qu’elle a publiquement contredit, ou encore les politiques de son mari, comme en soutenant LeBron James qu’il avait attaqué ou en portant une veste «qui s’en fiche complètement» -et qui a provoqué la polémique. Les tensions avec son mari, démontrées en images lorsque Melania Trump a ouvertement refusé de lui tenir la main à plusieurs reprises, semblent s’être apaisées. En public, le couple Trump multiplie désormais les bises et les démonstrations d’affection.
Au cours de l’année 2018, Melania Trump a effectué son premier déplacement solo à l’étranger. Elle a visité quatre pays d’Afrique (le Ghana, le Malawi, le Kenya et l’Egypte) pour promouvoir son programme Be Best et le développement et le bien-être des enfants, mais ce voyage n’a pas non plus été épargné par les polémiques : le choix de ses tenues, dont le port d’un salacot, un casque blanc associé aux colons européens, a été scruté et critiqué. Melania Trump a consacré le reste de ses sorties publiques à des visites d’hôpitaux, notamment pour évoquer la crise des opiacés qui fait rage aux Etats-Unis, ou à accompagner Donald Trump lors de déplacements officiels, comme en France en novembre dernier, à l’occasion des commémorations du centenaire de l’armistice de la Première guerre mondiale.
Avec parismatch