Le prince Albert II de Monaco a inauguré, ce lundi dans la Principauté, une exceptionnelle exposition d’une cinquantaine de Ferrari de différentes époques.
Du rouge, du rouge et encore du rouge. Une cinquantaine de Ferrari de types Grand Prix et Sport, de différentes époques et presque toutes de la mythique couleur de ces bolides italiens, sont alignées dans l’espace d’ordinaire dévolu aux véhicules de la collection privée du prince Albert II, sur les Terrasses de Fontvieille à Monaco. Ce «musée» accueille, jusqu’au 15 mars prochain, une exceptionnelle exposition.
Les amateurs d’automobile, les inconditionnels de la marque au cheval cabré ou les simples curieux peuvent y découvrir plusieurs modèles qui sont restés dans l’histoire. Avec, comme pièce phare, la 250 GTO de 1962 dont seulement 36 exemplaires ont été produits. L’un d’eux a été récemment vendu au prix de 80 millions de francs suisses (70,5 millions d’euros). Cette voiture, qui est ainsi devenue la plus chère du monde en vente publique, était celle sur laquelle Lucien Bianchi et Georges Berger ont remporté le Tour de France Automobile en 1964.
Albert II était avec Jean Alesi et Charles Leclerc
A tout seigneur, tout honneur, c’est bien évidemment au prince Albert II de Monaco, qui accueille chez lui cette exposition, qu’est revenue la mission de l’inaugurer ce lundi 3 décembre 2018 au soir. Le souverain était, pour l’occasion, en compagnie de deux pilotes de Formule 1: Jean Alesi, qui courut de 1991 à 1995 dans la Scuderia Ferrari, et Charles Leclerc. Le jeune coureur monégasque de 21 ans, que la princesse Charlène est allée soutenir le 25 novembre dernier sur le Grand Prix d’Abu Dhabi, rejoint cette écurie pour la saison 2019.
Avec parismatch