L’Élysée ne parle plus d’Ali Bongo. La seule discussion aujourd’hui à l’Élysée c’est l’après Bongo. Pour la France ,la question de la succession d’Ali Bongo devient de plus en plus urgente. D’où la France a dépêché un émissaire, grand maître de la grande loge marocaine Mr Abel Bensaad auprès de la présidente de la cours constitutionnelle pour voir et discuter dans quel cadre la vacance de pouvoir doit être constatée. Le schéma qui a été choisi par les deux partis est la vacance de pouvoir temporaire pour permettre à la France de mieux adouber le nouveau successeur d’Ali Bongo que le nom reste toujours secret. Toutefois ,la présidente de la cours constitutionnelle a sollicité la complicité de la France de l’aider à annuler les deux élections jumelées qui viennent de se tenir dans notre pays afin d’organiser les élections générales une fois la vacance de pouvoir définitive sera constatée.
Nous demandons à la cours constitutionnelle de démentir notre information en validant dans les 72h les élections législatives et locales qui viennent de se tenir car la loi prévoit qu’après publication des résultats par le CGE que la cours constitutionnelle valide ensuite ces élections. Depuis samedi 06 novembre 2018 les élections sont terminées dans notre pays. Nous sommes aujourd’hui à mardi 13/11/2018 ,il reste 24h à la cours constitutionnelle de valider ces élections, c’est ce que dit la loi. Affaire à suivre…