La visite d’inspection du ministre du Commerce, David Mbadinga, dans les usines de la société Cimaf à Libreville, il y a quelques jours, a permis à l’opérateur marocain de donner au gouvernement des assurances sur le retour définitif du ciment sur le marché.
Ainsi, les responsables de la société chérifienne ont indiqué au ministre du Commerce que dans le court terme, l’entreprise allait augmenter les débits du broyeur de Cimaf Gabon par l’utilisation dans les semaines à venir, d’un clinker mieux adapté. Ce matériau, apprend-on dans la presse locale, combiné à un adjuvant de mouture, permettra d’augmenter à court terme la production journalière de l’entreprise.
Il y a également le démarrage autour du 20 octobre prochain de la 2ème ligne de broyage de CimGabon ; celle-ci, par rapport à celle que l’on utilise en ce moment, possède le double de la capacité de la ligne actuelle.
Pour les projets à long terme qui concernent la construction d’une usine de clinker dont le coût est évalué entre 65 à 70 milliards FCfa pour 500 emplois directs à générer, l’entreprise entend lancer leur démarrage une fois les conventions conclues avec le gouvernement.
Avec le nouveau gabon