En un an et demi de pouvoir à la Maison-Blanche, le Président américain peut déjà se targuer d’une croissance économique impressionnante. D’après un sondage de Rasmussen Reports, d’avantage d’Américains apprécient la contribution de Donald Trump au développement de l’économie nationale que celle de Barack Obama.
D’avantage d’Américains reconnaissent à Donald Trump une réussite en matière de croissance économique qu’à l’ex-Président américain Barack Obama, a révélé un récent sondage.
Selon Rasmussen Reports, «50% des électeurs américains pensent que l’amélioration de l’économie est davantage due à Trump qu’Obama, tandis que 40% pensent qu’elle est davantage le résultat des politiques mises en place par Obama avant son départ».
Même CNN, ennemi juré de Trump, contre lequel le Président mène une guerre depuis le début de ses fonctions pour des fake news, a récemment fait l’éloge de la réussite du Président dans le domaine économique.
Selon les chiffres clé comparés par la chaîne, le taux de chômage a baissé à 3,9% avec Trump (9,4% sous Obama), 3,2 millions emplois ont été créés, le déficit budgétaire est tombé jusqu’à 532 milliards de dollars (contre 936 milliards), et le PIB s’est élevé à 4,1% (contre 1,6%).
Le mois dernier, l’analyste Stephen Moore a déclaré: «En ce qui concerne l’économie, vous avez une croissance de 4,5%, vous avez le taux de chômage le plus bas depuis 30 ou 40 ans. Vous avez une faible inflation, je veux dire, peu importe ce que Trump fait sur l’économie, ça marche bien.»
Mardi, le Président Trump a assuré que la croissance économique américaine pourrait atteindre voire dépasser prochainement 5%. Donald Trump a ainsi lancé cette projection:
«Comme vous le savez, nous sommes en train d’enregistrer des records (…) de PIB. Personne ne pensait être au-dessus, ni même près de 2 (pour cent), et nous sommes à 4,1!», a-t-il déclaré lors d’un dîner avec des dirigeants d’entreprises à son golf de Bedminster (New Jersey), dans le nord-est des Etats-Unis.
Avec les accords commerciaux à venir, l’économie pourrait «aller beaucoup plus loin», a-t-il encore assuré.
Avec sputnik