Un membre de l’équipe de communication du premier ministre Gon Coulibaly, opérant sur la toile avec un avatar bien connu, “Cisse Seint”, a annoncé dans un forum de discussions sur le media social américain Facebook, que les jours deGuillaume Soro Rechercher Guillaume Soro étaient désormais comptés (voir capture ph2).
Selon lui, si le Président de l’Assemblée nationale s’avisait de faire acte de candidature à la présidence de la République, ce jour signerait son arrêt de mort. Car, promet-il “c’est un corbillard qui va le transporter à Ferkessédougou”, sa circonscription électorale. Et de signer sa menace de mort : “Parole de Cisse Seint”.
Même dans les heures les plus sombres de l’histoire politique de la Côte d’Ivoire, jamais une menace aussi précise n’avait visé un haut responsable politique, à plus forte raison le président d’une institution républicaine. Cet avatar qui s’est spécialisé dans les attaques virulentes voire les injures contre le président de l’Assemblée nationale a décidé de passer à l’étape supérieure: celle de la menace de mort.
Quand on sait que Korhogo s’illustre désormais en Côte d’Ivoire comme l’épicentre de la violence politique contre les pro-Soro, au point où un jeune membre d’un mouvement proche deGuillaume Soro Rechercher Guillaume Soro a été assassiné en plein jour devant des centaines de témoins, cette menace est à prendre au sérieux.
Devant la stupéfaction générale et le scandale immédiatement suscité par cette publication qui est un appel public au meurtre, et très certainement rappelé à l’ordre par son mandataire, le fameuxCisse Seint Rechercher Cisse Seint a supprimé son post. Mais les captures d’écran avaient déjà été faites.
Les proches du Président de l’Assemblee nationale, choqués par la propension de certains des nouveaux leaders politiques à vouloir criminaliser la vie politique ivoirienne à l’approche de la présidentielle de 2020, ont décidé que cette affaire n’en resterait pas là.
Pour sa part, selon nos sources,Guillaume Soro Rechercher Guillaume Soro a décidé d’évoquer cette question avec le Président de la République Alassane Ouattara au retour de voyage de ce dernier.
Avec koaci