Après de nombreux échanges interposés, Kim Jong-un et Donald Trump se sont enfin rencontrés à Singapour. Les deux chefs d’Etat ont signé un document mentionnant leurs engagements respectifs en termes de dénucléarisation et de garanties de sécurité.
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A l’échelle internationale, les première réactions au sommet de Singapour se sont faites entendre.
La Russie a affiché sa volonté de contribuer à améliorer l’accord sur la dénucléarisation de la péninsule nord-coréenne.
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a quant à lui salué «un premier pas».
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Donald Trump a annoncé que de nouvelles discussions entre Washington et Pyongyang sont prévues pour la semaine qui suit sa première rencontre avec Kim Jong-un.
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Commentant les résultats de sa rencontre avec Kim Jong-un, le président américain s’est exprimé sur l’évolution des sanctions américaines visant la Corée du Nord. Il a ainsi rappelé que les sanctions étaient toujours en vigueur, mais qu’elles disparaitraient dès que Washington pourrait s’assurer de la dénucléarisation nord-coréenne.
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Donald Trump a fait savoir après son sommet avec Kim Jong-un que les Etats-Unis mettraient fin, à terme, aux exercices militaires conjoints avec la Corée du Sud, décrits comme «très provocateurs» à l’égard de la Corée du Nord.
Il a également assuré que le dirigeant nord-coréen s’était engagé, après la signature de leur document commun, à détruire un nouveau site de tests de missiles. Les discussions ont été «honnêtes, directes et productives», a-t-il estimé. Kim Jong-un «veut faire ce qui est juste», a en outre expliqué le chef de l’Etat américain, précisant avoir abordé la question des droits de l’Homme.
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Dans le texte commun avec Donald Trump, Kim Jong-un s’engage lui, derrière le principe d’une dénucléarisation de la péninsule coréenne, sans toutefois mentionner l’exigence américaine de «dénucléarisation complète, vérifiable et irréversible».
La formule du dirigeant nord-coréen ne signifie donc pas l’abandon des armes ni l’acceptation d’inspections, mais confirme un engagement antérieur plus vague, comme en témoigne une photographie du texte mentionnée par l’AFP.
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Les Etats-Unis s’engagent à des «garanties de sécurité» dans le document signé par Donald Trump et Kim Jong-un.
© Pool new Source: ReutersKim Jong-un et Donald Trump ont signé un texte commun à Singapour le 12 juin 2018 -
A l’issue des négociations à Singapour, Donald Trump dit avoir établi «une relation très spéciale» avec Kim Jong-un et annonce que la dénucléarisation va commencer «très rapidement». Par ailleurs, le président américain invite son homologue nord-coréen à venir à la Maison Blanche.
«Nous allons nous rencontrer souvent», a déclaré Donald Trump, après avoir répondu «absolument» à une question sur une possible invitation à Washington.
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A l’issue de leur conférence de presse commune, Donald Trump et Kim Jong-un ont signé un document commun, dont les détails n’ont pas été révélés.
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Le président américain Donald Trump en a profité pour montrer à Kim Jong-un sa limousine présidentielle Cadillac surnommée «the beast» («la bête») en raison de son poids (entre cing et sept tonnes) dû aux nombreux blindages qu’elle comporte.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a salué une «rencontre historique» avec Donald Trump, déclarant que les deux nations avaient «tourné la page du passé».
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La Chine, principale alliée de la Corée du Nord, a salué le 12 juin le sommet en cours à Singapour entre le président américain Donald Trump et le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un, tout en appelant à nouveau à une «dénucléarisation totale» de son voisin.
«Aujourd’hui, le fait que les plus hauts dirigeants des deux pays soient assis côte à côte pour des pourparlers d’égal à égal a un sens important et constitue le début d’une nouvelle histoire», s’est félicité devant la presse le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi.
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Donald Trump et Kim Jong-un ont échangé le 12 juin une poignée de main historique, la première entre un président américain en exercice et un dirigeant nord-coréen.
Donald Trump et Kim Jong-un se sont retrouvés à Singapour ce 12 juin 2018 pour une première rencontre historique. Les deux chefs d’Etat doivent notamment s’entendre sur une dénucléarisation de la péninsule coréenne en vue d’un potentiel traité de paix.
Avant le début de la réunion, le président américain n’avait pas caché son enthousiasme : «Nous allons avoir de formidables relations.»
Avec rtfrance