Pour cette publication, nous allons exposer, grâce à la “Nouvelle Chronologie” d’Anatoly Fomenko et Gleb Nosovsky, quand et où ont vécu d’Abraham/Ibrahim (SA) et de ses deux fils : Ismaël/Ismaïl (SA) et Isaac/Is’haq (SA).
Selon la doxa officielle, le Patriarche Abraham aurait vécu en 1850 avant J.C. entre la Mésopotamie et la Palestine. Nous verrons que c’est bien plus récent que ça et bien plus au nord de ces lieux : au 14e siècle entre la Moscovie et la Grande Tartarie médiévales.
Pour éclairer les néophytes de la “Nouvelle Chronologie” d’Anatoly Fomenko et de Gleb Nosovsky, nous mettons deux vidéos, pour que vous compreniez la suite de la démonstration.
Nous présenterons chaque personnages-clones pour ensuite récapituler les similitudes récurrentes de ces personnages avec les vrais personnages historiques. Nous commencerons avec Abraham, ensuite Ismaël pour finir par Isaac.
Bonne lecture.
Le Patriarche Abraham, le Roi d’Argos Acrisios, le Chef Mongol Yesügei et le Roi Scandinave Sigmund : le “Prince Daniel de Moscou”
Nous allons vous présenter les différents personnages-clones d’Abraham pour résumer sa vie et la rétablir à l’époque du vrai “Abraham”, le “Prince Moskovite Daniel de Moscou”.
Abraham (en hébreu : אַבְרָהָם /av.ra.’ham/, en guèze : አብርሃም /ab.ra.’ham/, en arabe : إبراهيم /ib.ra.’him/) est un des personnages majeurs des religions juive, chrétienne et musulmane. Figure centrale du livre de la Genèse, elle est reprise dans le Coran sous le nom d’Ibrahim. Au sens strict du terme, il est le premier patriarche de la Bible. Il est considéré comme un personnage fondateur du judaïsme, comme l’un des principaux personnages du christianisme, et comme un des cinq grands prophètes de l’Islam (avec Noé, Moïse, Jésus et Mahomet). Il est présenté comme l’ancêtre des peuples hébreu et arabe et comme le père du monothéisme.
Diverses études pointent des incohérences entre le récit biblique sur Abraham, et les données archéologiques. Elles en concluent que le récit biblique est légendaire. La question de l’existence d’un personnage réel derrière ces légendes reste sans réponse.
Le récit biblique raconte qu’Abraham est enterré à Hébron et la tradition juive situe la tombe dans des grottes au pied du monument connu comme le Tombeau des Patriarches.
L’onomastique propose plusieurs pistes concernant l’étymologie du nom d’Abraham.
Le récit de la Genèse (17:5) offre concernant le nom d’« Abraham » (en hébreu : אַבְרָהָם) une explication étymologique populaire qui reste largement répandue, selon laquelle il signifie « père d’une multitude [de nations] » mais qui n’en est pas moins inexacte même s’il contient effectivement un jeu de mot avec un terme hébreu signifiant « la foule ». L’origine du premier nom du patriarche biblique, « Abram » (אַבְָרם), est, pour sa première partie (ab- ou av- :אב) une racine sémitique bien établie signifiant « père » et, pour sa seconde (-ram : רם), soit dérivée de l’akkadien ra’âmu(« aimer ») ou du sémitique occidental rwm (« être élevé »). Ce nom théophore (ab- ou av- le père pouvant être le Dieu ou l’ancêtre divinisé) est d’ailleurs courant au premier et deuxième millénaire chez les Araméens et les Sémites du Sud.
Le nom peut dès lors avoir signifié, suivant la première possibilité, « Il aimait le père » ou « le père aime » ou, suivant la seconde, peut-être plus convaincante, « il s’est élevé par rapport au père » marquant un lignage distingué. Un autre sens proposé habituellement par les exégètes est le « père est élevé », et « père exalté [ou haut] » ou « exalté par le père » sont également possibles ; le terme de « père » réfère probablement alors à la divinité vénérée par le porteur du nom. Quoi qu’il en soit, le nom « Abram », s’il n’est présent qu’à quatre reprises dans la Torah – dans la Genèse 11:26 et 17:5, le Livre de Néhémie 9:7 et le Premier livre des Chroniques 1:26 -, semble avoir été relativement populaire dans le Proche-Orient antique depuis le deuxième millénaire avant l’ère chrétienne.
A contrario, on rencontre le nom « Abraham » – dont on ne connait pas de dérivatif en hébreu – à d’innombrables reprises dans la Bible, concernant exclusivement le patriarche, et une partie de la recherche s’accorde pour considérer qu’il soit en fait une simple variante dialectale d’« Abram » par ajout du h (ה) aux racines verbales, un phénomène connu en araméen et dans d’autres langues. Il est également possible que les noms de deux ancêtres différents aient été fusionnés par les rédacteurs bibliques et que le nom « Abraham » ait été privilégié pour précisément distinguer le patriarche hébreu d’avec les multiples « Abram ». Certains spécialistes ont essayé de mettre Abraham en relation avec une tribu « R(w)hm » mentionnée dans une stèle égyptienne de Séthi Ier datant de 1289 av. J.-C. et découverte à Beït Shéan. Selon Mario Liverani, les membres de cette tribu se définissaient comme les « fils de Raham » (Banu Raham) et ils avaient pour ancêtre éponyme un « père de Raham » (Abu-Raham), c’est-à-dire Abraham. Ainsi, une hypothèse est qu’« Abraham est à l’origine […] l’éponyme d’une tribu de Banu Rahamattestée en Palestine centrale au XIIIe siècle pour disparaitre ensuite en tant que telle, mais en laissant des traces dans les généalogies tribales ». Une autre stèle de victoire dans le temple d’Amon à Karnak fait peut-être référence au « champ d’Abraham » ou « fort d’Abraham » situé dans le Néguev. Une autre conjecture onomastique identifie ce nom au lexème rhn apparaissant dans des textes d’exécration (fin IIIe, début IIe millénaire), rapprochant Abraham d’un dénommé Aburahana, prince de Samhuna, en Galilée. Abraham signifierait alors « Père de la tribu rhn ». Toutes ces conjectures sont cependant hasardeuses, le récit de la Genèse (17:5) étant un énoncé performatif par laquelle Dieu fait d’Abraham la figure par excellence de l’ancêtre.
Suite de sa biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Abraham#R.C3.A9cit_biblique
Dans la mythologie grecque, Acrisios ou Acrise (en grec ancien Ἀκρίσιος / Akrísios), fils d’Abas et d’Aglaé, frère jumeau de Proétos, est roi d’Argos. Marié à Eurydice, il est le père de Danaé (Hygin lui donne cependant Aganippepour femme, et ajoute Évarété pour fille).
Apollodore rapporte qu’il se querellait déjà avec son frère jumeau dans le ventre de sa mère. Plus tard, tous deux se disputent le royaume d’Argos, et c’est finalement Acrisios qui sort vainqueur. Il exile alors son frère.
Par la suite, pour tenter de déjouer un oracle qui lui prédit que son petit-fils le tuera, Acrisios enferme Danaé dans une haute tour d’airain aux fenêtres closes par d’épais barreaux. Mais Zeus la visite sous la forme d’une pluie d’or et engendre Persée. Acrisios enferme alors sa fille et son petit-fils dans un coffre qu’il jette à la mer. Le coffre est cependant repêché par Dictys, habitant de Sérifos, et Persée grandit à l’écart de son grand-père.
Après avoir tué Méduse et délivré Andromède, Persée se rend à Argos, le royaume d’Acrisios. Ce dernier, apprenant la venue de son petit-fils, s’enfuit à Larissa en Thessalie, par crainte que l’oracle ne se réalise. Mais Persée participe à des jeux funèbres que le roi de Larissa Teutamidès donne en l’honneur de son père et auxquels assiste Acrisios. Dépassant sa cible au lancer du disque, Persée frappe et tue accidentellement le vieillard, accomplissant ainsi la prophétie. C’est entre autres pour cette raison que le héros, dérangé et tourmenté par son crime prédestiné, échangera son royaume contre celui de Tyrinthe.
Yesügei ba’atour (mongol Iesüxeï, dérivé de ies(en) : 9, chiffre faste) (~1134–1175), était un chef mongol et fut le père de Gengis Khan par son épouse principale, Hö’elün.
Yesügei était le descendant de Nomoloun et de Qaïdou, petit-fils de Khabul Khan et fils de Bartan-ba’atour. Durant une guerre qui opposait sa tribu aux Djurtchät, Chinois et Tatars, il combattit aux côtés de son oncle Qoutoula et tua un chef tatar nommé Temüdjin.
Plus tard, Yesügei chassait avec un faucon et vit un homme du nom de Yéké-tchilédu. Il était avec sa femmeHö’elün et Yesügei la trouva jolie. Il alla chercher ses deux frères, Daritaï-ottchigin et Nékun-taïchi et ils revinrent pour enlever Hö’elun à son mari. Lorsqu’ils chargèrent le couple, Hö’elün, qui aimait son mari, se sacrifia pour Yéké et lui demanda de fuir sans elle, ce qu’il fit. Selon L’Histoire Secrète, c’est alors que Yesügei la prit de force. Elle mit au monde un garçon et Yesügei lui donna le nom Temüdjin en mémoire du chef Tatar qu’il avait tué au combat. D’autres enfants suivirent: Jöchi Khasar, Khajiun et Temüge. Quelques années après Temüge, une fille du nom deTemülen naquit.
Yesügei était probablement le chef mongol le plus important de son époque. Les Tayitchi’out (avec les moyennement inféodés Djouirat, Bésut et Suldus) et les Qongqotat étaient ses alliés. Il aurait commandé près de 25 000 hommes ce qui était le dixième de la population de l’époque en Mongolie orientale. Il aurait eu environ 3000 hommes pouvant monter un cheval. Sa tribu se situait près de l’Onon, même endroit où Gengis Khan et, plus tard, Kubilai Khanpassèrent leur jeunesse.
Un jour, vers 1171, Toghril, de la tribu des Kéraït, vint chez Yesügei. Il avait pris la tête des Kéraït mais avant été ensuite chassé par son oncle Gourkhan et voulait reprendre sa position en tant que chef. Yesügei accepta de l’aider. Il avait affronté les Tatar aidé des Kéraït, il y avait quelque temps, et souhaitait avoir un allié important en Toghril lorsqu’il serait aux commandes de sa tribu. La bataille fut facile pour Yesügei. Les Kéraït furent surpris par son attaque. Gourkhan fuit chez les Tangout. Yesügei et Toghril devinrent frères par serment à la suite de cette victoire.
Vers l’année 1175, Yesügei était accompagné par son fils et effectuait une randonnée à cheval pour se rendre chez les Qonggirat. La raison de cette randonnée (il en fit plusieurs autres) peut être expliquée par le fait qu’il avait probablement comme intention de rallier les peuples mongols sous un même commandement, ce que son fils fit plus tard. Il rencontra un des chefs Qonggirat, Däi-setchèn. Il discuta avec Yesügei, remarqua le visage lumineux de Temüdjin et informa son père que, durant la nuit, il avait rêvé à un aigle qui détenait le soleil et la lune entre ses deux serres et que cela lui semblait un bon présage. Il présenta sa fille à Temüdjin. Son nom était Börte. Yesügei demanda le lendemain à Daï-setchèn la main de Börte pour son fils. Il accepta et proposa de garder Temüdjin à la maison pour quelque temps.
Suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Yes%C3%BCgei
Sigmund (ou Siegmund) est un personnage de la mythologie nordique qui apparaît notamment dans la Völsunga saga. Il est le fils de Völsung et le père de Siegfried et Sinfjötli.
Il est mentionné dans le poème anglo-saxon Beowulf sous le nom de Sigemund.
Daniel Alexandrovitch de Moscou (en russe : Даниил Александрович), Saint Daniel de Moscou pour l’Église orthodoxe, né en 1261 et mort le 4 mars 1303, est le premier prince de Moscou.
Il est le quatrième et dernier fils d’Alexandre Nevski et de sa seconde épouse, la grande-duchesse Bassa. Il est né àVladimir, alors capitale de la Principauté de Vladimir-Souzdal.
À la mort de son père, il n’a que deux ans et hérite de la petite principauté de Moscou. Trop jeune pour régner, l’administration est gérée par des tiuns (députés) nommés par son oncle paternel, Iaroslav III de Vladimir.
Il prend part à la lutte de pouvoir entre ses frères Dimitri Ier Vladimirski et André III de Vladimir, pour le contrôle de Vladimir et Novgorod. Après la mort de Dimitri en 1294, Daniel fait alliance avec Michel III de Vladimir et Ivan de Pereslavl (ru) contre André III.
La participation de Daniel à cette lutte montre l’influence politique croissante de Moscou.
Le souverain de Riazan tente de conquérir la principauté avec l’aide des Mongols. Le prince Daniel les bat près dePereslavl-Zalesski. C’est une première victoire sur les tatars. En 1300, il fait emprisonner par la ruse (selon les chroniques) le souverain de la Principauté de Riazan. Pour obtenir sa libération, le prisonnier cède à Daniel sa forteresse de Kolomna. C’est une acquisition stratégique grâce à laquelle Daniel contrôle toute la rivière Moskova.
En 1302, sans enfants, son neveu et allié Ivan de Pereslavl lui lègue toute ses terres, y compris Pereslavl.
Suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Saint_Daniel_de_Moscou#Un_prince_pacifique
Les similitudes des personnages :
- Ils étaient des grands princes
- Ils durent quitter leur lieu de naissance : l’Exode
- Ils eurent deux femmes qui leur donneront chacune un fils qui deviendra roi et d’où sortira une grande descendance : les ismaéliens et les israéliens.
- Ils marièrent un de leur fils avec une princesse d’un autre royaume pour conclure une alliance
- Ils construisirent un grand temple pour symboliser l’alliance : la Ka’aba
- Ils durent quitter leur première femme et leur premier fils
- Ils étaient connus comme de grands princes pacifistes et des hommes de paix
- Une ville de leurs connaissances fut rasée : chute de météorite?
- Ils récupérèrent une partie du royaume de la part d’un membre de leur famille qui n’avait pas d’enfant
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Le Prophète Ismaël, Saint-Georges de Lydda, le Héros Persée, l’Empereur Mongol Genghis Khan, le Héros Siegfried et le Héros Roger : le “Prince Iouri III (Georges III) de Moscou”
Nous allons vous présenter les différents personnages-clones d’Ismaël pour résumer sa vie et la rétablir à l’époque du vrai “Ismaël”, le “Prince Iouri III (Georges III) de Moscou”.
Ismaël (en hébreu : ישׁמעאל Išma`e’l « Dieu a entendu [ma demande] » ; en arabe : إسماعيل Ismāʿīl) est un personnage de la Genèse et du Coran. Il est le premier fils d’Abraham, dont la femme Sarah est alors stérile. Sa mère Agar est une servante égyptienne de Sarah ; cette union est suggérée à Abraham par Sarah elle-même.
Abraham accepte la proposition de Sarah qui, pour avoir un fils, lui donne sa servante égyptienne Agar comme femme. Tombée enceinte, Agar méprise Sarah, qui la maltraite en retour. Agar fuit dans le désert, où un ange lui dit de rentrer et d’obéir à Sarah. Il lui prédit une descendance nombreuse et lui dit d’appeler son fils Ismaël car Dieu a entendu son humiliation. Cette rencontre a lieu au puits Lakhaï-roï, entre Qadès et Béréd. Agar enfante Ismaël lorsqu’Abraham a 86 ans.
Un jour, Dieu apparaît à Abraham pour lui proposer une alliance, et lui prédit qu’Ismaël engendrera douze princes et une grande nation. En signe de cette alliance, Abraham circoncit Ismaël à 13 ans.
Sarah donne finalement un fils à Abraham, appelé Isaac. Alors qu’on fête le sevrage d’Isaac, Sarah demande à Abraham de chasser Ismaël, pour qu’Isaac n’ait pas à partager l’héritage avec Ismaël. Abraham en est contrarié, mais Dieu lui dit de toujours écouter Sarah car l’alliance passe par Isaac, et prédit qu’il fera une nation d’Ismaël. Alors Abraham chasse Ismaël et sa mère.
Agar et Ismaël, munis de pain et d’une outre d’eau qu’Abraham leur a donnés, errent dans le désert de Beer-Sheva. Lorsque l’outre est vide, Agar jette Ismaël sous un arbuste et s’en éloigne pour ne pas assister à sa mort. Puis Dieu lui fait voir un puits, auquel elle remplit l’outre pour Ismaël. Ils s’installent au désert de Paran. Il devient archer et sa mère lui fait épouser une Égyptienne.
Lorsqu’Abraham meurt, Ismaël l’enterre avec Isaac. Ismaël a 12 fils, qui deviennent chefs de peuple : l’aîné Nebajoth, Kédar, Adbeel, Mibsam, Mischma, Duma, Massa, Hadad, Théma, Jethur, Naphisch et Kedma. Sa fille Mahalath épouse Ésaü, fils d’Isaac, et plaît à ses beaux-parents Isaac et Rébecca. Ismaël meurt à 137 ans.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Isma%C3%ABl#Origine_du_nom
Georges de Lydda (vers 275/280 à Lydda (aujourd’hui Lod en Israël) – 23 avril 303), Saint-Georges pour leschrétiens, est un martyr du IVe siècle, saint patron de la chevalerie de toute la chrétienté (ordre du Temple, ordre Teutonique, ordre de la Jarretière, ordre de Saint-Michel et Saint-Georges…), il est principalement représenté enchevalier qui terrasse un dragon : allégorie de la victoire de la foi chrétienne sur le démon (du bien sur le mal).
Son nom vient du grec Geôrgios, dérivé de geôrgos, « agriculteur ». Il est honoré le 23 avril, le 3 novembre(translation des reliques et dédicace de l’église de Lydda (Israël), au IVe siècle) et le 23 novembre en Géorgie.
Au XIIIe siècle, la légende de Georges de Lydda est adaptée par l’archevêque dominicain Jacques de Voragine dansLa Légende dorée qui raconte ceci :
Georges de Lydda naît en Cappadoce, dans une famille chrétienne. Militaire, il devient officier dans l’armée romaine ; il est élevé par l’empereur Dioclétien aux premiers grades de l’armée.
Un jour il traverse la ville de Silène dans la province romaine de Libye, sur son cheval blanc. La cité est terrorisée par un redoutable dragon qui dévore tous les animaux de la contrée et exige des habitants un tribut quotidien de deux jeunes gens tirés au sort. Georges arrive le jour où le sort tombe sur la fille du roi, au moment où celle-ci va être victime du monstre. Georges engage avec le dragon un combat acharné ; avec l’aide du Christ, et après un signe de croix, il le transperce de sa lance. La princesse est délivrée et le dragon la suit comme un chien fidèle jusqu’à la cité. Les habitants de la ville ayant accepté de se convertir au christianisme et de recevoir le baptême, Georges tue le dragon d’un coup de cimeterre car il les effrayait toujours, puis le cadavre de la bête est traîné hors des murs de la ville tiré par quatre bœufs.
Après la publication des édits de Dioclétien contre les chrétiens, Georges est emprisonné. Sa foi ne pouvant être ébranlée, il y subit un martyre effroyable : livré à de nombreux supplices, il survit miraculeusement et finit par être décapité le 23 avril 303.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_de_Lydda#Folklore
Persée (en grec ancien Περσεύς / Perseús), roi d’Argos, est un héros de la mythologie grecque.
Persée est le fils de Danaé, fille du roi d’Argos Acrisios. Ce dernier, averti par un oracle que son petit-fils le tuera, enferme sa fille dans une tour d’airain, ce qui n’empêche pas Zeus de la séduire sous la forme d’une pluie d’or. Persée naît ainsi dans le secret. Révélé à son grand-père par ses cris, il est enfermé dans un coffre avec sa mère et jeté dans les flots, qui les portent dans l’île de Sériphos. Tous deux sont recueillis par un pêcheur, qui élève le garçon comme son fils. Devenu adulte, Persée se voit confier par Polydecte, le roi de l’île, la mission de tuer laGorgone Méduse, dont le regard pétrifie ceux qu’il atteint. Vainqueur grâce aux armes magiques remises par Hermèset Athéna, il passe sur le chemin du retour par l’Éthiopie où il rencontre la princesse Andromède, qui doit être livrée à un monstre marin en punition des paroles imprudentes de sa mère Cassiopée. Persée la délivre et l’épouse. De retour à Sériphos, il se venge de Polydectès, qui a tenté de violer sa mère Danaé. Il rejoint ensuite sa patrie, Argos, qu’Acrisios a fui par peur de l’oracle pour se réfugier à Larissa. Or le roi de cette cité organise des jeux funéraires auxquels Persée prend part. En lançant le disque, il tue accidentellement Acrisios, qui assiste aux épreuves comme spectateur. Par égard pour son défunt grand-père, Persée échange sa royauté d’Argos contre celle de Tirynthe et donne l’île de Sériphos au pêcheur.
La légende de Persée, en particulier les épisodes de Méduse et d’Andromède, a connu une grande fortune après l’Antiquité. Il est probable qu’elle ait influencé les légendes chrétiennes des saints pourfendeurs de dragon, comme celle de Saint-Georges.
Persée est déjà mentionné chez Homère, qui le nomme le fils de Zeus et de Danaé, sans autre précision. LeCatalogue des femmes ajoute que Danaé est jetée à la mer dans un coffre, mais il faut attendre Phérécyde d’Athènes, au Ve siècle av. J.-C., pour que le récit soit complet : Acrisios, roi d’Argos, et son épouse Eurydiceengendrent une fille, Danaé. L’oracle de Delphes, interrogé, lui annonce qu’il n’aura pas de fils, mais que le petit-fils que lui donnera Danaé le tuera. De retour chez lui, Acrisios fait bâtir une chambre de bronze souterraine où il enferme Danaé et sa nourrice. Zeus aperçoit pourtant la jeune fille et la séduit après s’être transformé en pluie d’or. Danaé donne naissance à Persée et l’élève en secret, jusqu’à ce que les cris du jeune enfant, âgé de trois ou quatre ans, trahissent son existence. Acrisios fait exécuter la nourrice et exige de savoir qui est le père de Persée. Refusant de croire les déclarations de Danaé, il la fait jeter à la mer dans un coffre, avec son fils. Le coffre est emporté par les flots jusqu’à l’île de Sériphos, où Danaé et Persée sont secourus par un pêcheur généreux, Dictys(« filet »), qui élève le garçon comme son fils.
Une scholie de l’Iliade fait de Proétos, frère d’Acrisios, le véritable père de Persée, ce qui aurait été le motif de la querelle entre les deux frères. Cette variante, que le scholiaste attribue à Pindare, est également citée par le pseudo-Apollodore. Pindare mentionne pourtant l’histoire de la pluie d’or par ailleurs. Il est possible que dans la source du scholiaste et d’Apollodore, Danaé ait été séduite par Proétos et emprisonnée par son père en punition, laissant ainsi le champ libre à Zeus. La variante suivant laquelle Danaé est enfermée dans une tour plutôt que dans une chambre souterraine remonte à Horace, suivi par Ovide.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pers%C3%A9e#.C3.80_S.C3.A9riphos
Genghis Khan (en mongol : bitchig : ᠪᠣᠷᠵᠢᠭᠢᠨ ᠲᠡᠮᠦᠵᠢᠨ, cyrillique : Чингис Хаан, /ˈtʃɪŋɡɪs ˈxɑːŋ/), littéralement : « souverain universel », d’abord nommé Temüdjin, né vers 1155/1162 dans l’actuelle province deHentiy (Mongolie), mort en août 1227 dans l’actuel Xian de Qingshui (Chine), est le fondateur de l’Empire mongol, le plus vaste empire contigu de tous les temps.
Issu d’un chef de clan de la tribu Bordjigin, il utilise son génie politique et militaire pour rassembler plusieurs tribus nomades de l’Asie de l’Est et de l’Asie centrale sous l’identité commune de « mongoles » ; il en devient le khan(dirigeant), puis le Tchingis Khagan (empereur ou chef suprême), avant même de se lancer à la conquête de la Chine. À la fin de son règne, il contrôle une grande partie de l’Asie, avec, outre la Mongolie, la Chine du nord et laSogdiane.
Après sa mort, l’empire est considérablement agrandi par ses successeurs, qui le dirigent encore pendant plus de 150 ans. Son petit-fils, Kubilaï Khan, est le premier empereur de la dynastie Yuan en Chine.
Pour les Mongols, qui le considèrent comme le père de leur nation, Gengis Khan est une figure légendaire entourée d’un grand respect. Mais, dans nombre de régions d’Asie ravagées par ses guerres ou celles de ses successeurs, il est considéré comme un conquérant impitoyable et sanguinaire.
Il a établi des lois en faveur des femmes, pour éviter les conflits entre tribus. Ainsi, l’interdiction de kidnapper des femmes, de les vendre à des époux, et l’interdiction de l’adultère sont les principes de son empire.
Si l’on étudie les origines des Mongols et l’histoire de l’immense espace dominé par leurs prédécesseurs, l’on comprend rapidement la logique conquérante de Gengis Khan et les traits caractéristiques de l’Empire mongol à travers l’étude de l’Empire des steppes.
Le peuple turco-mongol dont est issu Gengis Khan descendrait des Xianbei, pour les Chinois Hu de l’Est, hypothèse la plus probable. Ces proto-mongols parlent le khitan, langue associée au mongol. Ce sont des pasteurs nomades qui chassent au IIe siècle les Xiongnu, établis dans l’actuelle Mongolie orientale depuis le IIe siècle av. J.-C.. Premier Empire des steppes, ces Huns d’Asie aux origines troubles, sont en effet les premiers nomades à dominer un ensemble territorial et y installent une capitale: Long Cheng. Au IVe siècle, c’est au tour de la « conféderation ruanruan » de contrôler une région qui s’étend du Xinjiang à la Sibérie, peuple de métallurgistes, ils sont les premiers à appeler leur chef Grand Khagan, qui deviendra plus tard Khan. En 552, ce sont les Köktürks qui s’emparent du territoire. Ils surveillent les accès aux routes de la soie et avec Byzance attaquent les Sassanides. L’espace de domination s’agrandit encore, allant du Caucase aux côtes de la Mer Jaune. Avec les Köktürks naît l’idée du chef au mandat divin, homme-providence qui voue sa vie à la soumission des peuples étrangers. De plus, le système administratif türk inspirera les Mongols, avec la création d’une trentaine de bureaux dédiés aux affaires étrangères, civiles ou encore militaires. C’est aussi la date d’introduction du système d’écriture türk, remplacé plus tard par l’alphabet ouïghour, un élément important dans l’unité et la gestion de cet Empire des steppes. En 743, ce sont lesOuïgours qui, suite à des querelles intestines entre tribus, s’emparent de ce vaste territoire. Les échanges avec la Chine sont alors foisonnants. Naît aussi une nouvelle capitale à l’emplacement-même de l’ancienne capitale Köktürk, Ordu Baliq (en), littéralement Cité de la cour. Ils sont enfin détrônés par les Kirghiz en 840, peuple de l’Ienisseï, fleuve sibérien, dont l’hégémonie sera vite contestée par les Khitans. Ces derniers, voisins des Mongols, forgent un modèle dynastique qui inspirera plus tard les Jürchen puis les Yuan. Ils se convertissent notamment aubouddhisme.
Gengis Khan et le peuple mongol dans son ensemble, loin d’être des barbares sauvages, ont un héritage commun, celui de l’Empire des steppes, caractérisé par un chef charismatique, protégé du Ciel éternel, le Möngke tengri. Ce chef, le Khan (déformation de Khagan), met ainsi en place un système administratif et un système de poste efficaces, et un territoire centralisé autour d’une capitale, l’ ördü: Karakorum, par ailleurs situé à quelques kilomètres des anciennes capitales ouïgour et türk. On entrevoit donc un personnage sûr de lui et favori du Ciel, qui prend le pouvoir grâce à des rivalités incessantes, à l’instar des ses prédécesseurs, certain de son succès et à la volonté ferme de domination de territoires immenses et de soumission des peuples étrangers.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Gengis_Khan#Famille_et_naissance
Sigurd (Sigurðr en vieux norrois) est un héros légendaire de la mythologie nordique qui apparait dans plusieurs poèmes héroïques de l’Edda poétique, compilée au XIIIe siècle. Sigurd apparaît également dans l’Edda de Snorri et est le personnage central de la Völsunga saga, écrits en prose au XIIIe siècle à partir des poèmes héroïques plus anciens et probablement d’autres sources qui ne nous sont pas parvenues. Sigurd apparaît également dans la sagalégendaire la Norna-Gests þáttr, où il défait le héros Starkadr.
Siegfried est un héros de la Chanson des Nibelungen, la version continentale et christianisée du mythe, également composée au XIIIe siècle, devenue épopée nationale allemande.
D’autres traditions rapportent la légende du héros avec leurs propres variations du mythe, la Saga de Théodoric de Vérone, rédigée au XIIIe siècle en vieux norrois mais qui est sans doute une traduction d’un texte allemand, et La chanson de Seyfried à la peau de corne, où le héros se nomme Seyfried, poème allemand probablement composé au XIIIe siècle. Enfin, il porte souvent le nom de Sivard dans des ballades scandinaves, surtout danoises, lesfolkeviser, qui témoignent soit de traditions différentes soit de larges déformations du mythe originel nordique.
Sigurd-Siegfried est un prince guerrier d’une puissance supérieure, responsable de nombreux exploits, comme le meurtre d’un dragon (Fáfnir dans la mythologie nordique). Certaines traditions rapportent qu’il est devenu invulnérable, notamment en se baignant dans le sang du monstre, sauf dans un endroit précis du dos qui n’était pas trempé, et il est tué tragiquement à cause de cette faiblesse, ce qui lui a valu des comparaisons avec d’autres personnages mythiques, en particulier Achille.
La tétralogie de Richard Wagner, Der Ring des Nibelungen, qui s’inspire des traditions allemandes et scandinaves pour créer une œuvre originale, a largement contribué au regain d’intérêt de la légende de Siegfried chez le grand public. Depuis, le héros est adapté dans de nombreuses œuvres de la culture moderne, en musique, littérature, au théâtre, à l’écran et en bande dessinée.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Siegfried_%28mytholog
Orlando furioso (ou Roland furieux) est un poème épique comptant plus de 38 000 vers composé par Ludovico Ariosto, dit « l’Arioste ». L’ouvrage, dont la rédaction a commencé en 1505, a connu une première publication en1516, puis a été repris et développé en 1521 et achevé en 1532. D’abord rédigé dans le dialecte italien utilisé àFerrare, il a été adapté par l’auteur en toscan littéraire.
L’Arioste a conçu son chef-d’œuvre comme une suite du Roland amoureux de Matteo Maria Boiardo. Il prend comme trame de fond la guerre entre Charlemagne et les Sarrasins, lesquels sont sur le point d’envahir l’Europe. Parmi les héros, on retrouve ceux des chansons de geste du Moyen Âge, tels Renaud de Montauban, Merlin et Roland dont la fureur est causée par la fuite d’Angélique, une princesse païenne qu’il aime et cherche à délivrer.
L’ouvrage traite aussi des aventures du Sarrasin Roger ((it) Ruggiero), ensorcelé par la magicienne Alcina et de son amante chrétienne, la guerrière Bradamante, un couple que l’auteur présente comme les ancêtres de ses protecteurs, le duc de Ferrare et son frère le cardinal Hippolyte Ier d’Este. Lorsque le poète remit à ce dernier la première version de son poème, le cardinal lui aurait dit : « Messire Louis, où diable avez-vous pris toutes ces sottises ? ».
Cet ouvrage est considéré « comme le résumé de toute une littérature, le dernier roman de chevalerie, celui où se condensent toutes les qualités du genre, qui n’en a aucun des défauts et qui, enfin, est écrit par un grand poète ».
Il a connu un succès constant durant plus de trois siècles et a inspiré des adaptations au théâtre, à l’opéra et dans la peinture.
La suite du récit : https://fr.wikipedia.org/wiki/Orlando_furioso#Trame
Iouri III de Moscou (1281 – 21 novembre 1325), est prince de Moscou en 1303 et grand-prince de Vladimir de 1318 à1322. Il est le fils de Daniel de Moscou.
Né vers 1281 à Pereislav, il devient prince de cette ville en 1302. À partir de 1313, après s’être emparé de Riazan, il dispute le trône de Vladimir à Michel III de Vladimir, prince de Tver. Étant allé demander de l’aide à la Horde d’or, il épousa la princesse mongole Kontchaka, baptisée sous le nom d’Agafia (Agathe), sœur du khan Özbeg. Cependant, il est défait ainsi que son allié tatar par le prince de Tver et doit s’enfuir à Novgorod dont les habitants sont prêts à l’aider pour enlever le trône à Michel III. Ce dernier prince paisible lui propose un arrangement de paix. Michel III, convoqué au camp du Khan pour y répondre de la mort de la femme de Iouri III qu’on l’accusait d’avoir empoisonnée, y fut condamné à mort et tué.
Le 21 novembre 1325, Iouri III meurt assassiné à son tour à Kolotcha près de Saraï par Dimitri II de Vladimir, le fils de Michel III, qui l’accuse d’être responsable de la mort de son père.
De son premier mariage avec une fille du prince Constantin de Riazan, il ne laisse qu’une fille et il aura pour successeur son frère Ivan Ier de Russie.
Les similitudes des personnages :
- Ils étaient de grands “prince-roi-empereur-héros”
- Ils durent délivrer leur femme d’un sacrifice
- Ils se marièrent avec la fille d’un “roi-prince-chef” de clan pour conclure une alliance
- Leurs descendances comptent de grands seigneurs-roi : les ismaéliens et la dynastie Tartare
- Leur père durent se séparer d’eux et de leur mère pour éviter un sacrifice
- Ils durent tuer un “dragon-monstre” qui terrorisait le peuple
- Ils avaient une très bonne monture pour combattre : le cheval des steppes tartare
- Ils construisirent un “temple”, symbole de paix et d’unification : la Ka’aba
- Leur père était un grand prince pacifiste
La femme du Prince Iouri III (Georges III) selon les personnages-clones de celui-ci :
- Malchuth (Bible et Coran)
Portrait et biographie non disponible.
- Kontchaka (Chronique Tartare)
Portrait et biographie non disponible.
Le beau-père/beau frère du Prince Iouri III (Georges III) selon les personnages-clones de celui-ci :
- Dei Sechen (Empire Mongol)
Portrait et biographie non disponible.
- Hjalprek (Mythologie Scandinave)
Portrait et biographie non disponible.
Le Prophète Isaac, Saint-Eustache de Rome, le Héros Bellérophon, le Seigneur Mongol Batu Khan et le Guerrier Nordique Sinfjötli : le “Prince Ivan Ier Kalita”
Nous présentons les différents personnages-clones d’Isaac pour résumer sa vie et la rétablir à l’époque du “vrai” Isaac, le “Prince Ivan Ier Kalita”.
Isaac (en hébreu : יצחק /yiSHāq/ il rira ; en arabe : إسحاق (isHāq)) est un prénom masculin d’origine hébraïque. C’est aussi un personnage de la Bible (chapitre de la Genèse) et du Coran. Il est le fils d’Abraham et de Sarah. Il est le mari de Rébecca, le père de Jacob et d’Ésaü, et le demi-frère d’Ismaël.
Un jour, alors qu’Abraham a 99 ans, Dieu lui apparaît et lui propose une alliance. Il lui promet de nombreux descendants, parmi lesquels des rois qui régneront sur le pays de Canaan. Il prédit que sa femme Sarah, qui a 90 ans et n’a pas d’enfant, accouchera dans un an d’Isaac, par lequel passera l’alliance, ce qui fait rire Abraham1. Un jour qu’Abraham accueille chez lui trois hommes, Dieu apparaît, et l’un des étrangers réitère l’annonciation de la grossesse de Sarah. Sarah l’entend et rit à cette idée.
Isaac naît un an après. Son nom signifie en hébreu « il rira ». Il est circoncis à l’âge de huit jours. Peu après lesevrage d’Isaac, Abraham chasse, sur la demande de Sarah, son autre fils Ismaël qu’il a eu d’Agar, pour qu’Isaac n’ait pas à partager l’héritage avec Ismaël.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac#Le_.C2.AB.C2.A0
Eustache, ou plus exactement Eustathe (grec Εὐστάθιος / Eustathios, latin Eustathius), mort selon la légende au début du règne d’Hadrien (autrement dit vers 118), est le nom d’un saint mégalomartyr des Églises catholique et orthodoxe.
Selon le récit originel de sa vie et de sa Passion (un texte grec [BHG 641] d’où dérivent toutes les versions connues de la légende), Eustathe, qui portait initialement le nom de Placidas, était un excellent général (στρατηλάτης), païen de religion mais très humain et charitable, qui vivait à l’époque de l’empereur Trajan. S’étant converti au christianisme à la suite d’un miracle survenu pendant une partie de chasse (entre les bois du cerf qu’il poursuivait une croix apparut tandis que la voix divine l’interpelait), Placidas se fit baptiser avec sa femme et ses deux enfants : il prit alors le nom d’Eustathios/Eustathe (qui signifie « bien équilibré », « constant »), son épouse Tatiana celui de Théopisté (« celle qui a foi en Dieu ») et leurs fils furent appelés Agapios (« celui qui est plein de charité ») et Théopistos (« celui qui a foi en Dieu »). Des malheurs annoncés par la voix divine s’abattirent bientôt sur lui pour le mettre à l’épreuve : il perd ses terres, ses troupeaux, sa fortune. Pour cacher sa misère, la famille décide de se retirer en Égypte. Comme Eustathe ne peut payer le prix de la traversée, le capitaine du bateau se dédommage en gardant pour lui la belle Théopisté. Menacé de mort, Eustathe s’enfuit à la nage avec ses deux fils. Mais bientôt ceux-ci, au moment de traverser un fleuve, sont brusquement ravis, l’un par un lion, l’autre par un loup. Eustathe les croit morts mais ils ont été sauvés l’un par des bergers, l’autre par des laboureurs qui les élèvent dans le même village sans que personne (pas même les intéressés) soupçonne qu’ils sont frères. Le temps passe. Le péril barbare rappelle Placidas au souvenir de Trajan. L’empereur fait rechercher partout l’exilé volontaire, le tire de sa retraite, lui rend son grade et lui confie la défense du pays. Eustathe enrôle alors de nouveaux soldats, parmi lesquels deux jeunes gens qu’il prend en amitié et dont il fait ses commensaux. Après une brillante victoire sur les Barbares, le général et ses deux aides de camp font halte près d’une maison habitée par une pauvre femme qui cultive un petit jardin. Les deux aides de camp, qui ne sont autres qu’Agapios et Théopistos, se reconnaissent alors les premiers au moment où ils se racontent leur vie. Témoin muet de ces retrouvailles, la jardinière (en réalité Théopisté, que le capitaine, mort subitement, n’a pas eu le temps de déshonorer et qui s’est échappée) reconnaît bientôt son mari dans le général. Toute la famille (père, mère et fils) se retrouve alors en une scène émouvante, typique de l’anagnorisis hagiographique. Mais la réhabilitation mondaine de Placidas-Eustathe ne dure guère. À Trajan succède Hadrien. Le nouvel empereur, voyant que le héros et les siens refusent de sacrifier aux idoles, les fait jeter en pâture à un lion féroce, lequel se couche à leurs pieds. Hadrien ordonne alors de les ébouillanter dans un taureau d’airain chauffé à blanc : plus résolus et unis que jamais, Eustathe, son épouse et ses deux fils conquièrent ainsi la palme du martyre. Les corps sont enlevés secrètement par les Chrétiens et déposés avec vénération « dans un lieu très célèbre ». Saint Eustache (c’est le nom sous lequel l’Occident médiéval le connaît) est fêté, à Rome comme chez les Grecs, le 20 septembre, mais son nom a été supprimé du calendrier romain général lors de la réforme de 1969.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Eustache_de_Rome#Une_
Dans la mythologie grecque, Bellérophon (en grec ancien Βελλεροφῶν / Bellerophỗn) est petit-fils de Sisyphe, fils de Glaucos ou de Poséidon, suivant les versions ; il est roi de Corinthe et fils d’Eurynomé (ou Eurymédé), une mortelle.
Bellérophon est « le plus grand héros et tueur de monstres, aux côtés de Cadmos et de Persée, avant la venue d’Héraclès
Son histoire est contée dans l’Iliade par Glaucos, fils d’Hippoloque, à qui Diomède a demandé sa lignée.
« Glaucos engendra l’irréprochable Bellérophon, à qui les Dieux donnèrent la beauté et la vigueur charmante. Mais Proétos, qui était le plus puissant des Argiens, car Zeus les avait soumis à son sceptre, eut contre lui de mauvaises pensées et le chassa de son peuple. Car la femme de Proétos, la divine Antéia, désira ardemment s’unir au fils de Glaucos par un amour secret; mais elle ne persuada point le sage et prudent Bellérophon et, pleine de mensonge, elle parla ainsi au roi Proétos : Meurs, Proétos, ou tue Bellérophon qui, par violence, a voulu s’unir d’amour à moi. »
Elle parla ainsi, et, à ces paroles, la colère saisit le Roi. Et il ne tua point Bellérophon, redoutant pieusement ce meurtre dans son esprit ; mais il l’envoya en Lycie avec des tablettes où il avait tracé des signes de mort, afin qu’il les remît à son beau-père et que celui-ci le tuât. Et Bellérophon alla en Lycie sous les heureux auspices des Dieux. Et quand il y fut arrivé, sur les bords du rapide Xanthos, le roi de la grande Lycie le reçut avec honneur, lui fut hospitalier pendant neuf jours et sacrifia neuf bœufs. Mais quand Éos aux doigts rosés reparut pour la dixième fois, alors il l’interrogea et demanda à voir les signes envoyés par son gendre Proétos. Et, quand il les eut vus, il lui ordonna d’abord de tuer l’indomptable Chimère. Celle-ci était née des Dieux et non des hommes, lion par devant, dragon par l’arrière, et chèvre par le milieu du corps. Et elle soufflait des flammes violentes. Mais il la tua, s’étant fié aux prodiges des Dieux. Puis, il combattit les Solymes illustres, et il disait avoir entrepris là le plus rude combat des guerriers. Enfin il tua les Amazones viriles. Comme il revenait, le Roi lui tendit un piège rusé, ayant choisi et placé en embuscade les plus braves guerriers de la grande Lycie. Mais nul d’entre eux ne revit sa demeure, car l’irréprochable Bellérophon les tua tous. Et le Roi connut alors que cet homme était de la race illustre d’un Dieu, et il le retint et lui donna sa fille et la moitié de sa domination royale. Et les Lyciens lui choisirent un domaine, le meilleur de tous, plein d’arbres et de champs, afin qu’il le cultivât. Et sa femme donna trois enfants au brave Bellérophon :Isandros, Hippolochos et Laodamie. Et le sage Zeus s’unit à Laodamie, et elle enfanta le divin Sarpèdon couvert d’airain. Mais quand Bellérophon fut en haine aux Dieux, il errait seul dans le désert d’Aléios : « Objet de haine pour les dieux, Il errait seul dans la plaine d’Alcion, Le cœur dévoré de chagrins, évitant les traces des hommes » .
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bell%C3%A9rophon
Batu (Mongol bitchig : ᠪᠠᠲᠣ) ou Batu Khan (en mongol, cyrillique : Бат хан ; translittération : Bat khan, de bat : fort, solide et khan : prince), parfois transcrit en Batou, né vers 1205, mort en 1255 à Saraï2, dans l’actuelle Russie, petit-fils de Gengis Khan, est le premier khan de la Horde d’or ou khanat de Kiptchak, après avoir dirigé, sous le règne de son oncle, le khagan Ogodeï, la conquête des principautés russes (1237–1240).
Batu est le fils de Djötchi (mort en 1227), lui même fils aîné de Gengis Khan (mort lui aussi en 1227) et de Börte, sa principale épouse.
Il succède à son père dans l’apanage des steppes de l’Oural et du Tourgaï, que Djötchi avait reçu de Gengis Khanvers 1220.
En 1236, il reçoit de son oncle et suzerain, le grand khan Ogodeï, de concert avec le grand général Subotaï, le commandement, d’une armée mongole de peut-être 150 000 cavaliers, parmi lesquels se trouvent plusieurs princesGengiskhanides : Güyük et Kadan, fils d’Ögödei, Qaïdu, petit-fils d’Ogodeï, Mongke, fils de Tolui, Baïdar, fils deDjaghataï, Buri petit-fils de Djaghataï, ainsi que les trois frères de Batu : Orda, Berké et Chayban.
Leur objectif est la conquête de l’ouest. Le khanat bulgare de la Volga est soumis durant l’automne 1236 et Bolgarest incendiée, ce qui permet aux Mongols de passer la Volga gelée durant l’hiver 1236-1237. Au printemps, Batu soumet les Kiptchaks qui se rallient. Seul le khan Batchman résiste un peu plus longtemps ; vaincu, il est exécuté sur l’ordre de Mongke.
Durant l’hiver 1237-1238, les Mongols marchent contre les principautés russes divisées. Le 21 décembre 1237, ils dévastent Riazan. Sa population est exterminée et la ville incendiée. Batu prend Kolomna, Moscou, Vladimir (7 février 1238), Souzdal (8 février), massacrant ou réduisant en esclavage la population de ces villes.
Le 4 mars, le prince Iouri II Vladimirski est vaincu et tué sur la rivière Sit. Batu marche le lendemain sur Tver etTorjok, qu’il assiège.
Au printemps, Novgorod est sauvée des Mongols par le dégel qui empêche la cavalerie de manœuvrer dans les bourbiers. Batu met alors le siège devant Kozelsk qui résiste sept semaines, puis sa population est massacrée.
Batu retourne ensuite vers le sud où il établit définitivement l’ordre dans les steppes Coumans. Le khan Kotian, vaincu à nouveau[réf. nécessaire], se présente aux frontières orientales de la Hongrie avec 40 000 de ses sujets et obtient l’asile du roi Béla IV.
En 1239, Batu mène une seconde campagne en Russie. Il rejoint Möngke dans la vallée du Don, puis occupePereiaslav et Tchernikov en Ukraine à la fin de l’année. Mongke réduit les Alains pendant l’hiver 1239-1240.
Batu reprend l’offensive au début de l’été 1240. Il met à sac Pereïaslav, Tchernihiv et les principautés de la Russieméridionale. Kiev est détruite le 6 décembre.
La suite de la biographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Batu#L.27invasion_de_
Sinfjötli est un personnage de la mythologie nordique.
Il est le fils de Sigmund et de sa sœur Signý. La Völsunga saga décrit comment, aux côtés de son père, il vengeVölsung en tuant Siggeir, le roi des Gauts.
De retour au pays des Völsungs, Sigmund épouse Borghild, qui déteste Sinfjötli. Afin de le tuer, elle lui présente lors d’un banquet une coupe de vin. Soupçonneux, il la refuse, et Sigmund la boit à la place. Une seconde coupe offerte par Borghild subit le même sort, mais à la troisième, qui contient du poison, Sigmund est ivre et Sinfjötli doit la boire ; il en meurt (en effet, Sigmund était immunisé à tous les poisons, mais son fils était vulnérable à ceux qu’il pourrait ingérer).
Sigmund emporte le corps de son fils et se rend jusqu’à un fjord. Là, un passeur lui propose de le faire franchir le bras de mer, mais son bateau étant trop petit, il n’emporte que le corps de Sinfjötli. Sigmund le lui remet, et le bateau disparaît peu après ; le passeur était en réalité Odin, venu emporter Sinjfötli au Valhöll.
Il est mentionné dans le poème anglo-saxon Beowulf sous le nom de Fitela.
Ivan Ier Kalita (1288– 31 mars 1340), fils de Daniel Moskovski, fut prince de Moscou en 1325 et grand-prince deVladimir en 1328. Son surnom de Kalita (escarcelle) lui vient de sa qualité de collecteur d’impôts pour les Mongols de la Horde bleue dirigés par Özbeg, dont il était le vassal.
Second fils du prince Daniel Moskovski, il devient prince de Pereïaslavl en 1304. Le 4 août 1304, il pose la première pierre de la cathédrale de la Dormition à Moscou. Il succède à son frère en 1325 comme prince de Moscou. En 1328, il se rend à la Horde d’or pour y être investi et il rentre avec le titre de grand-prince de Moscou, de Vladimir et de toute la Russie, après la déposition d’Alexandre II Vladimirski de Tver. Il ravage Tver à la tête de 50 000 hommes, au nom du Khan, indigné que ses collecteurs d’impôts aient été massacrés par les habitants de cette principauté.
Il lutte contre les princes apanagés et n’hésite pas à rechercher l’alliance du Khan, notamment pour se protéger des Lituaniens envahisseurs. Il ne pense qu’à amasser les terres russes et à les réunir de manière homogène sous son sceptre. Il arrive à s’entendre avec la Horde d’or en expliquant qu’un peuple n’a jamais vu d’un œil favorable l’occupant le pressurer et qu’il vaut mieux qu’un des leurs fasse cette opération à leur place. Il n’hésite pas à prélever une partie de cette perception pour son propre compte. Il s’appuie également sur le clergé et obtient le transfert du métropolite Pierre, russe de naissance, de Vladimir à Moscou, où il fut enterré en 1326 dans la cathédrale de la Dormition. Son successeur le grec Théognostos (1328–1353) fixa définitivement à Moscou le siège métropolitain.
À sa mort, le 31 mars 1340, il laisse 26 villes – dont Moscou et Vladimir – à son fils aîné, Siméon, 23 villes au second, Ivan, 21 villes à André, 26 villes à sa seconde femme et à ses plus jeunes fils. Il est inhumé dans lacathédrale de l’Archange-Saint-Michel de Moscou.
Il avait épousé en première union une certaine Hélène morte en 1331 et qui lui donna quatre descendants :
- Siméon Ier
- Daniel né en 1320 mort jeune
- Ivan II Ivanovitch
- André (1327–1353) prince de Novgorod.
Les similitudes des personnages :
- Ils étaient de grands princes-guerriers
- Leurs pères étaient un grand seigneur pacifiste : Daniel/Abraham
- Leurs descendances comptent de grands seigneurs-rois : les israéliens et la dynastie Tartare
- Ils étaient chef d’une grande armée de cavalier : la Horde d’Or
- Ils unifièrent plusieurs peuples pour constituer une grande armée : la Horde d’Or
- Ils avaient un frère connu comme un grand héros ayant vaincu un monstre : Iouri/Ismaël
Récapitulatif des personnages
Conclusion
Avec toute cette démonstration, on peut constater que le Patriarche Abraham et ces deux fils, Ismaël et Isaac, sont de très grands princes Tartaro-Mosckovite du 14e siècle connu sous le nom de Daniel de Moscou, Iouri III de Moscou et Ivan Ier Kalita qui vécurent entre la Tartarie (la Grande Tartarie) et la Moskovie (Tartarie Mosckovite).
Tartarie Moscovite et Grande Tartarie sur un planisphère du XVIIIe siècle du cartographe français Guillaume Delisle.
Pour quelles raisons retrouve-t-on autant de clones?
C’est à la période de la Réforme Protestante (fin du 15e, courant du 16e siècle) que les réformateurs divisèrent l’Empire Tartaro-Mongol (on peut l’appeler aussi Bulgaro-Tartare) en plusieurs Royaumes, Duchés et petits Empires, dont chacun s’est inspiré de l’histoire Tartaro-Mongol pour écrire leur propre histoire dans leur langue respective.
Pour la suite de la publication, nous ferons un essai de reconstruction historique sur la vie de Daniel/Abraham, Iouri/Georges/Ismaël, Ivan/Isaac, l’exode et la Ka’aba.
Fin de la publication
Lien vers la suite de la publication : Abraham, Ismaël et Isaac : la Météorite, l’Exode et la Ka’aba