Cette incroyable réplique d’un château du XVIIème siècle achevée en 2012 aurait enfin trouvé un acquéreur. Selon Bloomberg, ce somptueux domaine situé à Louveciennes, dans les Yvelines, a été vendue 275 millions d’euros. Et il se murmure que l’acquéreur serait un club de football.
Molière et Jean de la Fontaine n’en croiraient sûrement pas leurs yeux s’ils étaient encore de ce monde. Un château flambant neuf hors norme portant le nom d’un des plus célèbres rois de France, mêlant une décoration, copie conforme de ce qui se faisait de mieux au XVIIe siècle et des éléments de confort que peu de gens peuvent s’offrir aujourd’hui. Construit en toute discrétion à Louveciennes (Yvelines) dans un parc de d’un parc boisé de 23 hectares, ce bien a été achevé il y a plus de 3 ans. Depuis, il n’attendait qu’une chose: un propriétaire qui y élise domicile. Eh bien, le Château Louis XIV aurait enfin trouvé preneur.
L’heureux propriétaire? Un client du Moyen-Orient qui aurait déboursé un peu plus de 300 millions de dollars (275 millions d’euros) pour s’offrir cette gigantesque propriété, la plus chère au monde. C’est en tout cas ce qu’affirme l’agence Bloomberg dans un article publié en début de semaine, citant plusieurs sources.
Le futur havre de paix des joueurs du PSG?
Mais qui a donc pu payer une telle somme pour s’offrir ce château d’une surface habitable de 5.000 m² à un prix jamais payé en France pour un bien immobilier? Pour le moment, le mystère reste entier. « Il n’est pas impossible d’imaginer que les dirigeants du Paris Saint-Germain soient derrière cette incroyable transaction » écrit Le Figaro.
Une affirmation que personne n’est cependant en mesure de confirmer. Ni le supposé courtier immobilier, l’agence spécialisée dans les biens de luxe Christie’s International Real Estate, ni l’initiateur du projet, la société Cogemad, dont le siège est à Paris. Même l’architecte Pierre Bortolussi, qui a assisté la Cogemad, ne souhaite pas communiquer sur cette supposée transaction.
Le mystère continue donc de planer sur les conditions de cette transaction dont le montant paraît aussi extravagant que la demeure elle-même. La presse française il y a quelques mois, évoquait un prix de vente deux fois inférieur. Mais au-delà de cette énigme, deux autres éléments interpellent… Cliquez ici pour lire la suite