Affaire Guillaume Soro: Affi N’guessan en plein délire
Les partis d’opposition ont vraiment du chemin à faire pour être de vrais patriotes. Pascal Affi N’guessan, ancien Premier ministre de la Côte d’Ivoire, n’a sûrement rien retenu de son passage dans les locaux de la Primature ivoirienne. Ce mercredi, lors d’une conférence de presse, abordant la question des écoutes téléphoniques et du mandat d’amener contre le président de l’Assemblée Nationale Soro Guillaume Kigbafori il a soutenu que pour le fpi cela n’écorche aucunement l’image de la nation ivoirienne et ajouté que “le fpi demande la démission du président de l’Assemblée Nationale Soro Guillaume afin que la lumière soit faite sur toutes ces affaires “. C’est pourquoi dira-t-il, il demande à rencontrer le président de la république et le parlement afin de débattre de la question.
Ces propos tenus par un anonyme passeraient sans problème. Mais d’un président de parti politique qui vient d’obtenir 09% à l’élection présidentielle d’octobre 2015, il y a de quoi en rire. Poursuivant son délire, il va jusqu’à dire qu’il est prêt à aller faire un débat au parlement afin de défendre cette position. Affi oublie sûrement que lors des élections législatives dernières, son parti avait boycotté les élections et n’a aucun élu dans ce parlement oubliant ainsi son mode de fonctionnement.
En dehors de ce point, le président du front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’guessan a réitéré son appel à la tenue des états généraux de la république. Selon lui, ces états généraux qu’il appelle de toutes ses forces depuis bientôt deux ans, doivent regrouper toutes les forces vives de la nation y compris les partis politiques.
Sur les incidents survenus à l’université et la récente attaque dans le sud-ouest du pays, démontre encore une fois que la Côte d’Ivoire n’a pas encore tourné la page de la violence et abordé celle de la réconciliation. Selon Pascal Affi N’guessan, la dissolution des syndicats universitaires n’est pas la solution. le fpi condamne les attaques de Grabo mais il dénonce le fait que parmi les personnes arrêtées pour leur implication dans ces attaques, il y a plusieurs militants du fpi.
Ys cazola
lementor.net
Les partis d’opposition ont vraiment du chemin à faire pour être de vrais patriotes. Pascal Affi N’guessan, ancien Premier ministre de la Côte d’Ivoire, n’a sûrement rien retenu de son passage dans les locaux de la Primature ivoirienne. Ce mercredi, lors d’une conférence de presse, abordant la question des écoutes téléphoniques et du mandat d’amener contre le président de l’Assemblée Nationale Soro Guillaume Kigbafori il a soutenu que pour le fpi cela n’écorche aucunement l’image de la nation ivoirienne et ajouté que “le fpi demande la démission du président de l’Assemblée Nationale Soro Guillaume afin que la lumière soit faite sur toutes ces affaires “. C’est pourquoi dira-t-il, il demande à rencontrer le président de la république et le parlement afin de débattre de la question.
Ces propos tenus par un anonyme passeraient sans problème. Mais d’un président de parti politique qui vient d’obtenir 09% à l’élection présidentielle d’octobre 2015, il y a de quoi en rire. Poursuivant son délire, il va jusqu’à dire qu’il est prêt à aller faire un débat au parlement afin de défendre cette position. Affi oublie sûrement que lors des élections législatives dernières, son parti avait boycotté les élections et n’a aucun élu dans ce parlement oubliant ainsi son mode de fonctionnement.
En dehors de ce point, le président du front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’guessan a réitéré son appel à la tenue des états généraux de la république. Selon lui, ces états généraux qu’il appelle de toutes ses forces depuis bientôt deux ans, doivent regrouper toutes les forces vives de la nation y compris les partis politiques.
Sur les incidents survenus à l’université et la récente attaque dans le sud-ouest du pays, démontre encore une fois que la Côte d’Ivoire n’a pas encore tourné la page de la violence et abordé celle de la réconciliation. Selon Pascal Affi N’guessan, la dissolution des syndicats universitaires n’est pas la solution. le fpi condamne les attaques de Grabo mais il dénonce le fait que parmi les personnes arrêtées pour leur implication dans ces attaques, il y a plusieurs militants du fpi.
Ys cazola
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