Par une réflexion analogique, observons les actes de la transition.
La technique a pris corps avec l’adoption du code électoral controversé. D’aucun pensait que cela était pour servir leur intérêt, fou thèse, le véritable plan existait et existe qui, à tout point de vu est contre un Burkina démocratique qui devrait bénéficier de l’effort de tous ses fils.
Qu’a cela ne tienne, la transition avance sans contradiction des hommes politiques. Des erreurs et erreurs induisant d’autres à la faute et comme il fallait s’attendre, les burkinabè ne savent réfléchir que dans un sens sans aucune dialectique et quand on étale une analyse contraire à leur compréhension, on devient un ennemie national, comme si en dehors de la loi quelqu’un détient le monopole de la nationalité.
Intrigue, mensonge et perfidie sont devenus l’exercice favori de cette transition. S’il ne s’agissait que de cela, aucunement, les esprits avisés comme le mien ne seront pas tourmentés mais hélas, il s’agit d’une conspiration à grande échelle contre le Burkina Faso dans l’intérêt égoïste d’individus assoiffés de pouvoir . L’arrestation de Djibril Bassolé rentre dans ce cadre. L’intention est de réduire à néant les acquis diplomatiques du Burkina au travers de ce monsieur et faire leur propre promotion. Il suffit de regarder les nominations de complaisance dans la diplomatie burkinabè à la fin de cette transition, on comprend que ce n’est pas l’intérêt du pays mais l’expression d’intérêt égoïste qui est mis en œuvre.
Fort heureusement personne ne naît gouvernant et mieux la fin est pour ce mois-ci, sinon ceux-là sont capables du pire; brûler le pays juste pour chauffer leur café serait une mince affaire.
Vivement que les autorités nouvellement élues viennent rectifier les bétises de ces apatrides…
avec bayiri