Étant donné que le pouvoir qu’exerce Sassou Nguesso ne vient pas du Peuple Congolais;
Si et seulement si nos franges de l’opposition étaient rassemblées,
Et qu’elles avaient su définir le changement qui s’impose à NOUS
Alors, Paulin Makaya n’allait pas être arrêté.
Or, l’ambiguïté qui fait que le pouvoir de Brazzaville ait cette avance, vient du manque d’un MÊME IDÉAL et d’UN SEUL BUT à atteindre par les oppositions, face pourtant à un Sassou Nguesso qui continue de se considérer président dans un État qui n’existe plus : depuis qu’il s’était lui même destitué, le 06 novembre dernier en décrétant sa nouvelle constitution anti-prison que certains sont entrain de reconnaître par la demande d’un autre dialogue, pour une gouvernance électorale avec celui que le peuple ne veut plus.
Dans ces conditions, quelle genre d’opposition exercent les oppositions de Brazzaville face à l’idéal dictatorial et au fantasme criminologène de Sassou Nguesso ou, que pouvons-nous dire de leur attitude à vouloir protéger un tyran, ancien patron fut-il? Cette question, que ne veulent pas répondre plusieurs de mes compatriotes, demeure pourtant un handicap à l’action final contre Sassou Nguesso. Agissant comme les fanatiques du PCT, elle n’a pas d’importance pour le soutien à apporter à leurs leaders, ils refusent de voir la vérité qui montre que ces politiciens contribuent au renforcement du pouvoir de Sassou Nguesso, en cherchant de participer à des élections qu’on appellerait, d’accompagnement ou de faire valoir.
Reconnaissons tout de même que Sassou Nguesso ne doit pas continuer à s’imposer par les larmes et le sang des autres, le sang de tous ces martyrs tombés le 17 et 20 octobre. La présidence est un régime politique qui accorde à un citoyen le pouvoir de diriger le pays en lui concédant le droit de l’administrer avec justice.
La présidence actuelle de Sassou Nguesso est donc paradoxale du point de vue de sa propre destitution volontaire, lorsqu’il a violé la constitution du 20 janvier 2002 par laquelle il avait écarté plusieurs de ses adversaires parmi lesquels certains ont été purement éliminés : parce que ne pouvant les vaincre par la voie des élections libres, transparentes et démocratiques. Sassou Nguesso qui croyait mourir au trône oubliant que Seul Dieu dispose et que nous étions encore là, a peur de rendre compte de tous ses crimes de sang et économique : voilà pourquoi il vient de se doter d’une autre loi fondamentale anti-prison pour qu’il ne soit pas livré à la CPI.
Dans sa peur, Sassou Nguesso tient à toujours nous diviser en influençant ces hypocrites et démagogues compatriotes qui le prennent pour leur protecteur à vie, un immortel tout juste pour ne pas perdre leurs biens mal acquis dans ce qu’il leur a signifier : le viol de la constitution du 20 janvier 2002 ferait évoluer les institutions dans la démocratie despotique, selon sa volonté machiavélique de sa dictature qui vient d’arrêter Paulin Makaya, où est donc l’évolution de la liberté et de la justice quand François Ndénguet se croit être au dessus du procureur? Que Otchombé les écrase, qu’il fasse régner son pouvoir, chantent encore ses fanatiques.
Durant dix huit (18) ans, Sassou Nguesso et son clan pensaient que les crimes de génocide des quartiers de Brazzaville Sud, de la population de la région du Pool, les disparus du Beach et la neutralisation sanglante le 16 décembre 2013 de Ntsourou allaient leur conférer un pouvoir dynastique, erreur, le vaillant Peuple qui leur avait rappelé, le 28 septembre 2014 qu’il était le propriétaire : a bien confirmé sa détermination, les 27 septembre, 17 et 20 octobre de cette année, que Sassou Nguesso et son clan prétendent encore le régenter. C’est cela qui devraient pousser tous ceux qui se réclament de ces oppositions à accepter aujourd’hui, L’APPEL AU RASSEMBLEMENT POUR DÉFINIR LE CHANGEMENT, au lieu de se présenter en hostilité les uns contre les autres.
Le Rassemblement de l’opposition est le meilleur leader dont redoute le pouvoir tentaculaire des nguiris, pour réussir le départ sans condition de Sassou Nguesso, avec tout son système. Car en effet, le vaillant Peuple Congolais s’est levé pour chasser le tyran et, restaurer la démocratie dictée par la Conférence Nationale Souveraine pour laquelle Paulin Makaya se retrouve aujourd’hui sous la torture du plus grand menteur, Sassou Nguesso qu’il a mis à nu, en publiant l’extrait de la vidéo virale du 29 novembre 1992 qui montre la manière éhontée et sans scrupule du roi de l’Alima. Ce que le Peuple veut, que les faux opposants ne le lui privent pas
avec mbikidenanitelamio