Pour lui, le 25 octobre fera date dans l’histoire de la Côte d’Ivoire. C’est d’ailleurs pourquoi, dira-t-il, « Ce jour-là, il ne faudrait pas qu’un seul Ivoirien manque à l’appel. Celui qui n’ira pas voter aura choisi de ne pas participer à l’écriture de cette nouvelle page de l’histoire de notre pays ». Et d’affirmer: « Ce que nous n’avons pas réussi à faire en 2010, c’est en 2015 que nous le réussirons.»
Le candidat Pascal Affi N’Guessan continue ses meetings et rencontres dans les communes d’Abidjan. Le dimanche 18 octobre, dans la commune d’Abobo, il a exhorté ses militants et sympathisants à aller chercher leurs cartes d’électeur après la prorogation de la date de retrait (Ndlr: fixée jusqu’au 21 octobre), annoncée par la Commission électorale indépendante (Cei). Le président du Front populaire ivoirien (Fpi), s’est dit convaincu du soutien de la commune d’Abobo-gare à son projet de société. « Je sais que le 25 octobre, Abobo va surprendre en votant massivement pour moi », a-t-il souligné, expliquant que les difficultés que les Abobolais ont connu durant des années militent en sa faveur.
Pour lui, le 25 octobre fera date dans l’histoire de la Côte d’Ivoire. C’est d’ailleurs pourquoi, dira-t-il, « Ce jour-là, il ne faudrait pas qu’un seul Ivoirien manque à l’appel. Celui qui n’ira pas voter aura choisi de ne pas participer à l’écriture de cette nouvelle page de l’histoire de notre pays ». Et d’affirmer: « Ce que nous n’avons pas réussi à faire en 2010, c’est en 2015 que nous le réussirons.»
Selon le candidat Affi N’Guessan, son parti reste fidèle à la transition pacifique par la démocratie. «Le 25 octobre, nous allons démontrer qu’on peut changer le pays par la voie démocratique», a assuré le leader du Fpi. Abordant les dissensions au sein de son parti, au début de son intervention, il a soutenu que les contradictions sont inhérentes à la vie. « Le Fpi est en train de prendre un nouveau départ. Aujourd’hui, ce que nous avons à faire, c’est comment nous rassembler », a-t-il expliqué aux militants du parti.
Affi N’Guessan estime qu’à travers ce rassemblement, le Fpi devrait reconquérir le pouvoir et mettre ainsi fin aux problèmes que connaît le parti. Le samedi, à Yopougon, le candidat du Fpi, à la présidentielle a rencontré les chefs coutumiers de communauté pour solliciter leur bénédiction.
Avec FratMat