Des études publiées par diverses ONG, dont le Centre pour la Science et l’Environnement (CSE), prouvent que cette célèbre boisson gazeuse est nocive pour la santé.
Presque 2 Milliards de canettes de Coca-Cola sont vendues chaque jour dans le monde.
Pourtant, plusieurs composants de cette boisson s’avèrent potentiellement dangereux pour la santé. Voici donc une petite liste de ses ingrédients nocifs pour vous mettre en garde. Un homme averti en vaut 2 milliards.
1. Le caramel de synthèse, attention au cancer !
Il ne s’agit pas du bon caramel naturel mais de la substance chimique qu’on utilise pour colorer le Coca. En tout cas, selon l’institut de recherche américain CSPI, cet ingrédient peut être cancérigène.
Il contient en effet de l’ammoniaque et des sulfites qui, mélangés à forte température, peuvent provoquer des cancers des poumons, du foie ou de la thyroïde, ainsi que des leucémies.
2. L’acide phosphorique, une menace pour les reins et les os
Alors que les autres sodas utilisent de l’acide citrique, Coca a opté pour l’acide phosphorique (ou additif E338). C’est d’ailleurs cet ingrédient qui donne au cola son goût si particulier. Mais il peut, selon diverses études américaines menées ces dix dernières années, provoquer deux maladies graves :
– l’insuffisance rénale : 500 personnes atteintes d’insuffisance rénale ont été interrogées sur leur régime alimentaire lors d’une étude menée en 2003. Il en a été conclu que le risque d’insuffisance rénale double ou triple à partir de 2 verres de Coca-Cola par jour.
– l’ostéoporose (fragilité du squelette) chez les femmes enceintes, en partie due à une chute de calcium et de DMO (densité minérale osseuse). Trop de Coca pourrait vraisemblablement être un obstacle à la croissance.
3. L’aspartame : l’édulcorant qui fait polémique
L’aspartame est un édulcorant contenu dans les boissons gazeuses dites « light », surtout dans le Coca Light. Une étude menée en 2010 a montré que l’aspartame pouvait provoquer des tumeurs du foie, du poumon, voire du cerveau.
Pour information, cette étude a été menée par l’italien Morando Soffritti de l’institut Ramazzini, en 2007, et est actuellement en phase de validation par l’ANSES (Agence Nationale de Sécurité Sanitaire). Elle fait contre-poids aux ersatz de recherches effectuées dans les années 70 par un institut dont les membres faisaient à peu près tous partie du lobby du soda et qui avaient conclu que l’aspartame était inoffensif.
Une autre étude publiée dans la revue American Journal of Clinical Nutrition menée par le danois Thorhallur Halldorson, effectuée sur 60 000 femmes enceintes, a démontré que des naissances prématurées pouvaient être causées par l’aspartame.
avec sante-nutrition